Bien arrivés chez Colette. La chambre
est un peu chiche en place, mais Colette est sympa et je sais que si
ma femme avait été là, elle aurait kiffé les deux chats et les
deux chiens de la maison qui dorment dans la pièce d'à côté.
La douche aussi était bien froide,
très froide, très courte.
Le vol était bien long, très long,
avec presque une heure de retard pour problèmes techniques.
Mais nous avons pu acheter à manger
dans un petit commerce du coin, la fameuse soupe coriandre carotte
que ma femme affectionne tant, et des sandwichs déjà tout fait
(comme ça peinards).
Johan a goûté à l'Ibn Bar bru et a
détesté... Il n'a rien contre les oat cakes ou le cottage cheese.
Nous sommes prêts à affronter
Édimbourg demain, sans doute en bus, histoire de ne pas se prendre
la tête à se garer en ville.
C'est assez bizarre de s'être retrouvé
d'une balade avec le chien ce matin, à un barbecue familial ce midi
(avec un excellent vin que j'avais offert au père de ma femme :
le vent d'Est) à la longue, très longue, infiniment longue attente
à Orly, puis dans l'avion (le temps qu'un problème mécanique soit
réglé, puis à l'aéroport d'Édimbourg (parce que bon, mon bagage
est parti en soute alors que le même bagage, transporté par Johan,
non), puis ici, dans ce petit quartier résidentiel d'Édimbourg que
je ne situe pour l'instant absolument pas sur la carte.
Comme d'habitude, je vais rester à
l'heure française, ça sera plus facile pour manger aux horaires
britanniques.
J'ai un petit coup de fil à passer
demain parce que ma femme finit un petit examen, et ensuite eh bien,
je ne sais ce que va nous offrir la ville. Pas forcément plus
qu'elle ne m'a déjà offerte, mais ensuite les occasions à deux
potos ne sont pas les mêmes que tout seul ou en couple.
Voilà ma caille esprit de
l'aventure...
Je te laisse avec la page du jour...
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