1 heure, le 20
C'est pas tant la chair et le sang des personnages joueurs.
C'est la chair et le sang de l'univers qui les entoure. Même si les personnages joueurs sont super balaises, ce qui me plait, c'est la confrontation à la sueur, la misère, la crasse et le sang.
Et ensuite de se retrouver en face de la corruption et de devoir de toutes les manières traiter avec.
Et de posséder énormément d'humour et d'avoir le pouvoir que celui-ci, parfois, transcende les horreurs du réel.
Les personnages ont sauvé des enfants de monstres rien qu'en manipulant à la parlotte l'un d'entre-eux, ont découvert qu'un des monstres n'en était pas un, ont aidé des villageois qui auraient pu être brûlé à d'autres tables et foncent dans la gueule d'un loup qui pourrait être un véritable monstre mais également l'hôte le plus charmant qu'ils auront de leur séjour dans le duché des damnés.
Le duché des damnés, un excellent supplément de campagne et de contexte pour le jeu de rôle warhammer que je recommande chaudement.
Et sinon, je laisse cette haiku qui a fait rire à la portée de ceux qui n'ont pas bu de bière :
Je vais t'enculer
Humf, te bourrer bien à fond
Prends ça, salope.
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