Jour Cinq
Le parc de Myvatn et plein de choses
autour.
Une journée de fou au niveau des
images...
Les chutes de Godafoss, le parc de
Mytvan, la fin de la journée dans un bain naturel, une heure les
pieds dans l'eau à plus de trente degrés pendant qu'il fait 6
degrés à l'extérieur...
Je suis entouré par une bande de francophones férus de volcanologie qui font un trip « aventure » pendant 15 jours...
Je suis entouré par une bande de francophones férus de volcanologie qui font un trip « aventure » pendant 15 jours...
Je n'ai pas de lumière.
Je suis un peu dans le chou.
Je pourrais juste me contenter de
laisser défiler des mots et des images :
L'eau, chaude, en chute, baignant des
colonnes de lave, accueillant les corps meurtris en fin de
journée.
Le volcan HverFjall, battu par le vent, je tente de descendre dans la caldeira, j'y arrive. Le pied. Seul, au milieu de l'ancienne force des éléments, protégé des vents, à reposer sur ce qui fut la puissance de la terre.
Le volcan HverFjall, battu par le vent, je tente de descendre dans la caldeira, j'y arrive. Le pied. Seul, au milieu de l'ancienne force des éléments, protégé des vents, à reposer sur ce qui fut la puissance de la terre.
La pizzeria du midi, au camping où
nous résidons, qui a réussi à me convaincre de deux choses :
on peut faire une pâte différente, mais pas mauvaise... La truite
fumée d'Islande est quelque chose de supportable par rapport à ce
que représente pour moi le saumon fumé.
La lave. La lave putain et tous les jeux qu'elle a su jouer dans ce décor de dingue.
La lave. La lave putain et tous les jeux qu'elle a su jouer dans ce décor de dingue.
La nature. La nature, même avec des
touristes, même avec des français partout, même si tu aurais
préféré ne pas entendre parler français, la nature putain.
Le froid, le froid polaire qui nous
aide peut-être à ne pas avoir des pluies d'enfer.
Le soleil, le salaud, rasant sur les
nuages et inondant l'horizon de couleurs trop nombreuses pour mes
yeux de daltonien.
Un arc-en-ciel, un arc-en-ciel dont la réfraction nous suit en voiture nous procurant l'effet d'optique que, pitin, un arc-en-ciel courait après nous.
Les plantes, vivaces, et fortes, qui parviennent tant bien que mal à pousser malgré le climat.
Un arc-en-ciel, un arc-en-ciel dont la réfraction nous suit en voiture nous procurant l'effet d'optique que, pitin, un arc-en-ciel courait après nous.
Les plantes, vivaces, et fortes, qui parviennent tant bien que mal à pousser malgré le climat.
Rha...
On est trop déconnecté de la nature. Trop. C'est ce qui nous perd...
http://www.lapagedujour.net/aout2014/premieraout2014.htm
On est trop déconnecté de la nature. Trop. C'est ce qui nous perd...
http://www.lapagedujour.net/aout2014/premieraout2014.htm
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