Je remercie l'auteur d'Oatmeal, un excellent blog dessiné, pour ce que j'ai lu sur le marathon et le mur aujourd'hui.
C'est un peu là que je suis.
Il y a une limite où tu te dis : comment je vais continuer ?
Comment je vais faire ?
Il me semble que j'ai atteint le mur aujourd'hui.
Le mur qui m'empêche de sortir voir tous les camarades d'enrôlés, le mur qui me couche presque toute la journée, le mur de la douleur qui est au bord de te rendre fou, le mur de la supportabilité (je ne supporte plus ma gueule de hamster et cette boule)...
Le mur ou le bord du gouffre.
Bien sûr, ça faisait 48 heures que je n'avais pas pris mon millepertuis, j'étais en retard de plusieurs heures et direct, ça impacte mon esprit.
Mais concrètement, je fus transformé en larve (j'ai eu peur de frôler le malaise vagual cette aprèm), puits de douleur et associal de fait (pour ne pas imposer aux autres l'image de ma souffrance que je ne peux raisonnablement pas cacher).
Peut-être que c'est le bout du bout de l'infection, la dernière bataille.
Elle ne se laisse pas faire.
Je vaincrai.
Mais aujourd'hui a failli presque tout me coûter. Sur tous les plans. A tous les niveaux.
Vraiment.
Et tu vois, esprit de l'aventure, si ces longues années de douleurs et ces deux semaines supplémentaires d'épreuves vraiment qui me poussent à la limite ne donnent rien après demain, je serais capable de me dire que la vie c'est bien de la mayrde.
Je reste pourtant optimiste. En dépit de tout. Même si j'ai loupé le rdv le plus important de la semaine, même si je n'ai pas pu aller à la semaine de théâtre des automnales, même si j'ai parfois plus mal que je n'ai jamais eu.
Pourquoi ?
Parce que je vis ça comme un chemin.
Une sorte de dernière épreuve avant une révélation.
C'est con.
Mais sans ça.
Oh bon sang, sans ça...
Allez, je te laisse avec la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/octobre2015/vingttroisoctobre2015.htm
Douze ans déjà.
C'est un peu là que je suis.
Il y a une limite où tu te dis : comment je vais continuer ?
Comment je vais faire ?
Il me semble que j'ai atteint le mur aujourd'hui.
Le mur qui m'empêche de sortir voir tous les camarades d'enrôlés, le mur qui me couche presque toute la journée, le mur de la douleur qui est au bord de te rendre fou, le mur de la supportabilité (je ne supporte plus ma gueule de hamster et cette boule)...
Le mur ou le bord du gouffre.
Bien sûr, ça faisait 48 heures que je n'avais pas pris mon millepertuis, j'étais en retard de plusieurs heures et direct, ça impacte mon esprit.
Mais concrètement, je fus transformé en larve (j'ai eu peur de frôler le malaise vagual cette aprèm), puits de douleur et associal de fait (pour ne pas imposer aux autres l'image de ma souffrance que je ne peux raisonnablement pas cacher).
Peut-être que c'est le bout du bout de l'infection, la dernière bataille.
Elle ne se laisse pas faire.
Je vaincrai.
Mais aujourd'hui a failli presque tout me coûter. Sur tous les plans. A tous les niveaux.
Vraiment.
Et tu vois, esprit de l'aventure, si ces longues années de douleurs et ces deux semaines supplémentaires d'épreuves vraiment qui me poussent à la limite ne donnent rien après demain, je serais capable de me dire que la vie c'est bien de la mayrde.
Je reste pourtant optimiste. En dépit de tout. Même si j'ai loupé le rdv le plus important de la semaine, même si je n'ai pas pu aller à la semaine de théâtre des automnales, même si j'ai parfois plus mal que je n'ai jamais eu.
Pourquoi ?
Parce que je vis ça comme un chemin.
Une sorte de dernière épreuve avant une révélation.
C'est con.
Mais sans ça.
Oh bon sang, sans ça...
Allez, je te laisse avec la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/octobre2015/vingttroisoctobre2015.htm
Douze ans déjà.
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