En discutant spiritualité avec un ancien contact du théâtre, j'ai été rappelé au fait que je ne cessais de parler tout le temps, tout le temps de ma femme et que je disais ma femme qui pouvait sonner comme une possession.
Et là, j'ai pris une claque, non pas que c'était de la possession, mais que c'était ma fierté ou une sorte d'accomplissement, ce qui explique pourquoi j'ai pris si cher.
Un accomplissement dont j'étais fier de parler en public mais dont je ne me sentais pas digne en privé vu que je ne m'estimais pas.
C'est intéressant de prendre des claques et d'analyser.
Je ne crois pas que Clarisse ait jamais su à quel point je parlais d'elle si souvent, ce qui a forcément provoqué aussi mon isolation en partie, puisque je n'ai plus mon accomplissement.
Je n'ai jamais considéré le fils comme ça. D'ailleurs, j'essaie d'éviter de dire mon fils quand je peux.
Une manière, pour ma femme, de faire exister quelque chose en moi que je n'avais pas, je suppose.
Mais passons.
Le blog du fils.
La page du jour (avec les seules visions importantes du jour, liées au manque, je suppose).
Et un merci aux petits poissons, encore, autour de mes pieds... Maintenant, je pourrais dire mes petits poissons au lieu de ma femme. Mais en fait, non, les petits poissons, tout court.
Un merci aussi à ceux de Maleluka avec qui j'ai fait en quelque sorte mon anniversaire en avance...
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