Minuit 40, le 5...
Mettons que je mélange Nigel, des extraterrestres, un rituel consistant à blesser plusieurs personnes, un statut d'extraterrestre qui est transmis par Nigel, un réveil à quatre heures du matin, un repas beaucoup trop lourd à supporter le midi (et trop long, je ne peux décidément plus supporter ce genre de trucs, je me tiendrai associalement dorénavant à finir une heure avant tout le monde pour gérer ventre et esprit), un trèfle à quatre feuilles devant la maison des parents de ma femme, une recherche infructueuse sur une cuvée spéciale de whisky que j'ai goûtée ici (et qui n'a pas de référence, il n'y a eu que 660 bouteilles je crois), l'excellence des plats du repas en dépit de la longueur, l'accueil extraordinaire des parents de ma femme, la cueillette de prunes et de noisettes, le ras le bol d'être sur le clavier du portable, la frustration d'attendre encore plusieurs jours pour jouer au jeu de rôle, le vin, le whisky, le fait de goûter du chorizo, le visionnage de certaines des photos du voyage, la lecture de mon livre sur le whisky (que je ne sais pas où j'ai foutu) et je retiens quoi ?
Mettons que je mélange Nigel, des extraterrestres, un rituel consistant à blesser plusieurs personnes, un statut d'extraterrestre qui est transmis par Nigel, un réveil à quatre heures du matin, un repas beaucoup trop lourd à supporter le midi (et trop long, je ne peux décidément plus supporter ce genre de trucs, je me tiendrai associalement dorénavant à finir une heure avant tout le monde pour gérer ventre et esprit), un trèfle à quatre feuilles devant la maison des parents de ma femme, une recherche infructueuse sur une cuvée spéciale de whisky que j'ai goûtée ici (et qui n'a pas de référence, il n'y a eu que 660 bouteilles je crois), l'excellence des plats du repas en dépit de la longueur, l'accueil extraordinaire des parents de ma femme, la cueillette de prunes et de noisettes, le ras le bol d'être sur le clavier du portable, la frustration d'attendre encore plusieurs jours pour jouer au jeu de rôle, le vin, le whisky, le fait de goûter du chorizo, le visionnage de certaines des photos du voyage, la lecture de mon livre sur le whisky (que je ne sais pas où j'ai foutu) et je retiens quoi ?
Mon rêve. C'est la première fois que je mets Nigel Findley dans un rêve, en auteur qui a feint sa mort, qui s'avère être un alien sur la fin qui nous paralyse avec une drogue avant de nous donner une sorte de pouvoir et de quête ma femme et moi, un truc où l'on doit quand même saigner deux gardes, un roi, une reine et leur dauphin, poursuivis par des autorités peu compétentes, cela dit.
Je ne vais pas me prendre la tête à faire une lourde auto analyse du rêve même pas décrit totalement dans le détail, mais il est clair qu'intuitivement je comprends et ressens le besoin de changement.
Putain.
Lourd, je me sens. Trop bouffé. Trop. Et je suis capable de garder bien plus qu'avant au grand drame de mon foie et à la grande satisfaction de ma satiété.
Putain.
Lourd, je me sens. Trop bouffé. Trop. Et je suis capable de garder bien plus qu'avant au grand drame de mon foie et à la grande satisfaction de ma satiété.
Je vais encore boire de l'eau gazeuse, putain. J'ai du lourd qui me promet des rêves de fou...
Ceci dit, bon, ça ne serait pas un mal. Demain, je dois essayer de faire une page de gag pour lundi. Je ne l'ai pas faite en avance celle de lundi, et c'est le jour spécial Nigel normalement.
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