1 heure 40, le 19...
Je rêve d'un hôtel, d'un vieux pote d'Angoulême qui m'invite à son mariage le 30 juin 2011, d'une masseuse qu'il baise devant moi, d'une vieille qui veut se faire baiser par moi (et après je possède l'hôtel)...
Je fais ma page, je répare mon vélo, en plusieurs fois, il a plusieurs trous. Je fais une vidéo avec les deux chats des parents de Clarisse.
J'achète mon casus belli. Je découvre à quel point ma femme pourrait être au bord de la dépression avec les patrons débiles qu'elle a.
Je joue un bout des masques de Nyarlatothep avec dégustation de whiskies après avoir été initié au jeu de cartes.
J'ai une longue conversation avec Hervé à propos de ce qui arrive dans nos vies ou à nos femmes.
Ce que je retiens le plus pourtant, c'est la synchronicité.
Le fait que nos personnages, le soir, rencontrent un rêveur.
C'est vraiment une dimension que j'explore chaque soir en notant mes rêves le matin et que j'approfondis dans le jeu de rôle en n'établissant pas de frontière entre voyager dans les rêves ou dans un autre monde.
Les rêves sont-ils des portes vers d'autres réalités qui existent ?
Hu ?
Une réponse qu'il est intéressant d'essayer de chercher en jeu de rôle.
Ou dans la vraie vie. Parce que les jeux de rôle ne sont que des rêves éveillés :)
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