Faisant partie du tiers des français qui n'avait pas dû voir ce film, j'ai rattrapé mon retard ce soir, ne suivant pas l'avis de ma femme, qui, de toutes les manières n'aime pas ce genre de film ou le moindre truc mièvre.
Moi, le un peu mièvre, ça marche.
Ce n'est absolument pas un film qui m'a fait rire. Sourire, oui. Mais pas rire...
Et j'ai apprécié qu'il y ait la dose d'émotions qu'il y a dedans (oui, oui, je suis une madeleine aussi dans ce genre de film)
Je ne regrette donc pas ma fin de soirée.
Il y avait sans doute un petit bonus dans l'identification très partielle avec l'handicapé.
Mon handicap n'est absolument pas de même nature. Mais je dois avouer avoir trouvé un petit écho dans le film.
En dépit du personnage iconique du film, j'ai trouvé le rôle de la sobriété de Cluzet plus fort que celui d'Omar Sy (qui est très fort et excellent dans le sien, attention). Il existe d'ailleurs une adaptation théâtrale de la chose qui serait intéressante à voir, pour la performance sur scène du comédien qui joue l'handicapé (et l'autre aussi)...
http://www.rideauvert.qc.ca/programmation/pieces/intouchables
Ca risque de faire un peu loin, le Canada, cela dit :)
Je repense à cette pièce horrible où le rôle principal est pris jusqu'aux reins, puis jusqu'à la tête. L'acteur n'avait rien pour lui, avait une oreillette et nous a lamentablement fait chier dans un texte qui aurait pu être grandiose bien que pas comique.
Là, au moins, l'acteur peut évoluer sur scène. Mais sur scène, dans une chaise roulante, sans bouger les bras et les mains, sans les gros plans du cinéma, ça doit être étonnant. Ouais, car ce qui m'a sans doute le plus ému, ce sont ces foutus plans serrés sur François Cluzet...
La puissance du cinéma sur le théâtre, d'ailleurs, je me dis, c'est pas forcément les grands espaces, pour mon compte, ou les scènes d'action, mais les gros plans...
Les gros plans, c'est un peu comme pour la peinture, sans doute ce que je préfère : le portrait.
J'ai toujours été plus arrêté par les portraits en peinture, ils capturent l'âme.
Dans les gros plans, t'as les yeux.
Les yeux, c'est quand même le véhicule de presque tout. Un truc plus facile au cinéma qu'au théâtre, surtout quand t'es pas au premier rang.
C'est pour ça que j'aime bien être au premier rang au théâtre, pour les gros plans...
Au chapitre jeu de rôle, je reste sur le cul qu'en quelques heures la deuxième édition de 7th Seas se voit gagner plus de 260 000 dollars. (edit 300 000 dollars en corrigeant cet article à près de midi)
Et je reste circonspect sur la somme qu'il faudrait verser pour avoir tous les bouquins...
Ceci dit, pour 40 dollars, vous pouvez tout avoir ou presque en pdf. Le foulancement (crowdfunding) reste donc raisonnable.
Je me permets de glisser à mes amis rôlistes le lien du kickstarter...
https://www.kickstarter.com/projects/johnwickpresents/7th-sea-second-edition
Dans un registre tout à fait différent, très bonne séance intergroupe où je m'en voudrais de spoiler quoi que ce soit... Pouf. Je garderai le mystère sur le projet en n'en parlant pas tant que le mystère ne sera pas dévoilé. :)
Et enfin, pour finir, la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/fevrier2016/dixfevrier2016.htm
Une page tranquille sous le sceau de la vague de tranquillité que je continuais d'essayer d'avoir en espérant que mon vieux disque dur interne ne soit pas explosé.
J'ai maintenant presque tout ce qu'il faut sur ce pc.
Il ne me manque qu'un bon logiciel de montage son et vidéo et une version potable de dreamweaver 8 qui ne fonctionne pas, par contre, depuis son installation sur mon ancien disque dur vers mon nouveau pc...
Une version potable aussi du logiciel conquercam, que j'ai payé, mais qui est à l'état de larve sur le vieux disque dur pourrait m'aider pour les photos de la page du jour.
Mais au besoin, c'est le moindre mal.
Il me reste deux scénarios à écrire, un petit texte à réaliser, éventuellement un deuxième à mettre au point comme suite d'un premier texte un peu rigolo.
Et à passer quelques heures par jour à apprendre ou réviser les 45 minutes de textes que j'aurai à jouer cette année....
Moi, le un peu mièvre, ça marche.
Ce n'est absolument pas un film qui m'a fait rire. Sourire, oui. Mais pas rire...
Et j'ai apprécié qu'il y ait la dose d'émotions qu'il y a dedans (oui, oui, je suis une madeleine aussi dans ce genre de film)
Je ne regrette donc pas ma fin de soirée.
Il y avait sans doute un petit bonus dans l'identification très partielle avec l'handicapé.
Mon handicap n'est absolument pas de même nature. Mais je dois avouer avoir trouvé un petit écho dans le film.
En dépit du personnage iconique du film, j'ai trouvé le rôle de la sobriété de Cluzet plus fort que celui d'Omar Sy (qui est très fort et excellent dans le sien, attention). Il existe d'ailleurs une adaptation théâtrale de la chose qui serait intéressante à voir, pour la performance sur scène du comédien qui joue l'handicapé (et l'autre aussi)...
http://www.rideauvert.qc.ca/programmation/pieces/intouchables
Ca risque de faire un peu loin, le Canada, cela dit :)
Je repense à cette pièce horrible où le rôle principal est pris jusqu'aux reins, puis jusqu'à la tête. L'acteur n'avait rien pour lui, avait une oreillette et nous a lamentablement fait chier dans un texte qui aurait pu être grandiose bien que pas comique.
Là, au moins, l'acteur peut évoluer sur scène. Mais sur scène, dans une chaise roulante, sans bouger les bras et les mains, sans les gros plans du cinéma, ça doit être étonnant. Ouais, car ce qui m'a sans doute le plus ému, ce sont ces foutus plans serrés sur François Cluzet...
La puissance du cinéma sur le théâtre, d'ailleurs, je me dis, c'est pas forcément les grands espaces, pour mon compte, ou les scènes d'action, mais les gros plans...
Les gros plans, c'est un peu comme pour la peinture, sans doute ce que je préfère : le portrait.
J'ai toujours été plus arrêté par les portraits en peinture, ils capturent l'âme.
Dans les gros plans, t'as les yeux.
Les yeux, c'est quand même le véhicule de presque tout. Un truc plus facile au cinéma qu'au théâtre, surtout quand t'es pas au premier rang.
C'est pour ça que j'aime bien être au premier rang au théâtre, pour les gros plans...
Au chapitre jeu de rôle, je reste sur le cul qu'en quelques heures la deuxième édition de 7th Seas se voit gagner plus de 260 000 dollars. (edit 300 000 dollars en corrigeant cet article à près de midi)
Et je reste circonspect sur la somme qu'il faudrait verser pour avoir tous les bouquins...
Ceci dit, pour 40 dollars, vous pouvez tout avoir ou presque en pdf. Le foulancement (crowdfunding) reste donc raisonnable.
Je me permets de glisser à mes amis rôlistes le lien du kickstarter...
https://www.kickstarter.com/projects/johnwickpresents/7th-sea-second-edition
Dans un registre tout à fait différent, très bonne séance intergroupe où je m'en voudrais de spoiler quoi que ce soit... Pouf. Je garderai le mystère sur le projet en n'en parlant pas tant que le mystère ne sera pas dévoilé. :)
Et enfin, pour finir, la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/fevrier2016/dixfevrier2016.htm
Une page tranquille sous le sceau de la vague de tranquillité que je continuais d'essayer d'avoir en espérant que mon vieux disque dur interne ne soit pas explosé.
J'ai maintenant presque tout ce qu'il faut sur ce pc.
Il ne me manque qu'un bon logiciel de montage son et vidéo et une version potable de dreamweaver 8 qui ne fonctionne pas, par contre, depuis son installation sur mon ancien disque dur vers mon nouveau pc...
Une version potable aussi du logiciel conquercam, que j'ai payé, mais qui est à l'état de larve sur le vieux disque dur pourrait m'aider pour les photos de la page du jour.
Mais au besoin, c'est le moindre mal.
Il me reste deux scénarios à écrire, un petit texte à réaliser, éventuellement un deuxième à mettre au point comme suite d'un premier texte un peu rigolo.
Et à passer quelques heures par jour à apprendre ou réviser les 45 minutes de textes que j'aurai à jouer cette année....
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