Trois jours sans bière.
C'est rare.
Mais passons.
Ceci dit, hier, j'ai bu deux rhums et j'ai été malade de chez malade... Mais comme un chien. Un lendemain de cuite, du genre tu sais pas si c'est gastro ou cuite avec les boyaux qui bullent.
Conclusion, soit j'ai un foie vraiment très capricieux et il a pas aimé un truc que j'ai mangé hier, soit j'ai pêcho une mini gastro, soit mon foie il a compris un truc et me fait payer à chaque fois le mélange rhum et fruit.
La première cuite de ma vie fut au punch. La dernière fut à la Pina Colada.
Les deux derniers gros bobos de crâne furent à la suite de l'ingestion de rhums arrangés.
Conclusion ?
Le rhum, c'est pas bon du tout pour mon foie.
Ma femme le pense. Mon intuition aussi.
Ceci dit, bon...
Moi, je veux bien garder tout ce qui reste du raison, de la pomme et de l'orge, hein.
Grui.
Je n'ai pourtant bu que deux verres de rhum sur plus de cinq heures de temps.
Je crois que mon futur gustatif et liquide cette année va se cantonner au tryptique que je maîtrise dans la modération : bière, machin à la pomme (je reste large sur la pomme, y a des tas de trucs sympa avec de la pomme), whisky. Et encore...
Mais comme je n'envisageais pas une carrière de goûteur...
Bref.
J'ai appris deux choses aujourd'hui : pas de rhum et ne devoir que compter sur soi parce que le rendez-vous que j'ai eu à quatre pattes et deux vomis chez l'assistante sociale au sujet du refus de ma demande d'AAH m'a laissé un arrière goût de pénétration anale avec de la scorie bien chaude et fumante.
Ce n'est pas l'assistante sociale, non. C'est le système.
Il est impossible que je retrouve un job classique.
Je ne peux donc que compter sur moi-même.
L'expérience d'écriture menée cette semaine m'ouvre des pistes.
J'aurai quelques billes pour écrire des trucs en plus cette année, en court, un format plus aisé pour moi.
Une semaine avec des patates dans la gueule, plein, mais avec plein de choses apprises.
Plein. Mais plein.
Je sais de plus en plus qui je suis.
Et ça va me permettre de filer, là, maintenant, au lit moins con...
http://www.lapagedujour.net/fevrier2016/vingtsixfevrier2016.htm
Ah si.
Je remercie deux personnes. Une qui me permet d'être qui je suis : ma femme. Une qui me permet de découvrir des trucs sur qui je suis : Jenny.
Nan mais. Si.
C'est rare.
Mais passons.
Ceci dit, hier, j'ai bu deux rhums et j'ai été malade de chez malade... Mais comme un chien. Un lendemain de cuite, du genre tu sais pas si c'est gastro ou cuite avec les boyaux qui bullent.
Conclusion, soit j'ai un foie vraiment très capricieux et il a pas aimé un truc que j'ai mangé hier, soit j'ai pêcho une mini gastro, soit mon foie il a compris un truc et me fait payer à chaque fois le mélange rhum et fruit.
La première cuite de ma vie fut au punch. La dernière fut à la Pina Colada.
Les deux derniers gros bobos de crâne furent à la suite de l'ingestion de rhums arrangés.
Conclusion ?
Le rhum, c'est pas bon du tout pour mon foie.
Ma femme le pense. Mon intuition aussi.
Ceci dit, bon...
Moi, je veux bien garder tout ce qui reste du raison, de la pomme et de l'orge, hein.
Grui.
Je n'ai pourtant bu que deux verres de rhum sur plus de cinq heures de temps.
Je crois que mon futur gustatif et liquide cette année va se cantonner au tryptique que je maîtrise dans la modération : bière, machin à la pomme (je reste large sur la pomme, y a des tas de trucs sympa avec de la pomme), whisky. Et encore...
Mais comme je n'envisageais pas une carrière de goûteur...
Bref.
J'ai appris deux choses aujourd'hui : pas de rhum et ne devoir que compter sur soi parce que le rendez-vous que j'ai eu à quatre pattes et deux vomis chez l'assistante sociale au sujet du refus de ma demande d'AAH m'a laissé un arrière goût de pénétration anale avec de la scorie bien chaude et fumante.
Ce n'est pas l'assistante sociale, non. C'est le système.
Il est impossible que je retrouve un job classique.
Je ne peux donc que compter sur moi-même.
L'expérience d'écriture menée cette semaine m'ouvre des pistes.
J'aurai quelques billes pour écrire des trucs en plus cette année, en court, un format plus aisé pour moi.
Une semaine avec des patates dans la gueule, plein, mais avec plein de choses apprises.
Plein. Mais plein.
Je sais de plus en plus qui je suis.
Et ça va me permettre de filer, là, maintenant, au lit moins con...
http://www.lapagedujour.net/fevrier2016/vingtsixfevrier2016.htm
Ah si.
Je remercie deux personnes. Une qui me permet d'être qui je suis : ma femme. Une qui me permet de découvrir des trucs sur qui je suis : Jenny.
Nan mais. Si.
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