Jour
10 Mary Island.
La
claque.
On
aurait dû prendre trois jours. Vraiment.
Les
images sont nombreuses mais les plus représentatives sont :
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Le champ de merdes d'oies (et autres créatures) au camping.
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Chercher des piquets laissés dans la terre par des gens parce qu'on
avait pas de piquets dans la tente qu'on a emportée.
- Les pieds dans l'eau pour aller jusqu'aux falaises peintes et l'envie de se baigner.
- Les pieds dans l'eau pour aller jusqu'aux falaises peintes et l'envie de se baigner.
-
Les falaises peintes, du fer qui est passé dans le calcaire et a
dessiné de magnifiques motifs.
-
La balade vers Réservoir et le wombat croisé en face de nous et
marchant placidement. La pause aussi à Réservoir... Oh mon dieu. Je
reviens sur le wombat, un moment de pur paradis d'être là au moment
où il passe.
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Un autre wombat près d'un touriste en rentrant au campement.
-
Plein de wombats au crépuscule au campement et beaucoup des trois
sortes de kangourous que compte l'île.
- Une balade nocturne pour apercevoir un opposum.
- Une balade nocturne pour apercevoir un opposum.
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La lune, pleine, avec un temps clair au-dessus du campement.
-
Les nombreux cris incroyables de certains oiseaux.
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Une souche qui m'appelle au cours de la première balade, il y a des
formes que je perçois parfois du coin de l’œil avec mes yeux
niqués.
-
Le sommet de la zone de la jetée, avec un ancien hôpital transformé
en hôtel sous l'ère des Bernacchi.
-
La nuit un peu agitée dans la tente, pas froide, non, mais le sol
était dur sans tapis de sol.
Jour
11, le retour de Mary Island.
On
a la balade du matin...
On
a les falaises contenant les fossiles. Les fichus fossiles vieux de
près de 270 millions d'années pour certains. Des fruits de mer. Bon
sang. Je me suis permis d'en ramasser deux ou trois en dépit des
interdictions. Tenir quelque chose qui a vécu il y a si longtemps,
il y a quelque chose de vertigineux pour l'esprit.
On
a la grange avec les vieux outils, le cimetière avec si peu de
tombes qui peuvent être reconnues...
On
a aussi une petite visite du pénitencier avec un hommage à
l'histoire d'un irlandais nommé O'brien et une jolie mise en scène
d'un café de l'époque.
On
a une longue conversation dans le bateau au retour avec un hollandais
qui a pris 7 mois pour faire du cyclisme sur l'Australie et la
Nouvelle Zélande.
On
a faire les merdes, les grosses merdes cette aprem ;
Chacun
a un œil super explosé. Le vent sans doute sur l'île de Mary.
Je
retiens qu'on ne vit qu'une fois, selon l'expression de l'hollandais
et qu'il faudrait prendre le temps de trois mois au moins dans un
pays étranger pour s'accrocher l'anglais comme il faut.
A
réfléchir de juillet à septembre prochain avec un truc du genre
office de tourisme de l'Irlande ou de l'Ecosse.
Hmmm.
Ou
de n'importe où... du moment que l'anglais soit la langue de base.
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