Jour
5, fin du monde...
Pas mort à minuit, pas plus à 11 heures du soir.
La journée ?
Petit-déjeuner qui dure et discussion jusqu'au bon
timing pour se rendre au Mona avec Eric. Le Mona est un musée d'art
contemporain avec je dois dire de quoi laisser assez pantois.
J'ai été surpris de m'intéresser mêmeà un
monochrome après avoir lu une pièce de théâtre nommée l'Art qui
parle justement d'un monochrome.
Plusieurs artistes marquants.
La machine à digérer, la maison de cheveux, une tête
remplie d'oiseaux, livres et mains avec des effets stroboscopiques,
une peau de chaton tendue, du dérangeant, du provoquant. J'en passe
et des meilleurs. Il serait con de se rendre en Tasmanie sans voir le
Mona. Je pense que c'est le musée avec la meilleure scénographie
que j'ai jamais vu.
Déjeuner au Mona, dans un café inclus dedans. Les
plats, relativement chers, sont excellent. Eric me rappelle la
recette du poé, un plat traditionnel tahitien au départ.
Visite de l'étage non vu avant de se reposer un peu
chez Eric.
Puis zou, passage à la distillerie ou plutôt le bar de
l'Ark Distillery pour goûter les whiskies tasmaniens et faire
découvrir à Eric deux trucs écossais. Grosse facture.
Dîner dans un petit restaurant chinois avant une balade dans le secteur du marché du samedi matin où une foule de jeunes, parqués dans des enclos se laissait copieusement aviner.
Dîner dans un petit restaurant chinois avant une balade dans le secteur du marché du samedi matin où une foule de jeunes, parqués dans des enclos se laissait copieusement aviner.
Une foule... Que dis-je...
Une masse, mais passons.
Personne n'a changé, personne n'est mort et la fin du
monde c'est de la merde à moins qu'il n'y ait un véritable éveil
des consciences grâce à je ne sais quel miracle solaire.
Moi, je vais me contenter de la fin d'un monde pour en
découvrir un de nouveau...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire