Bon, cet après-midi, nous avons fini (bien qu'il reste pleiiiiin de choses en suspens), les masques de Nyarlatothep, une campagne mythique pour l'appel de Cthulhu et éminemment pulp (mais éminemment).
Plusieurs joueurs ont eu l'occasion de passer à la table.
Tous n'ont pas été jusqu'au bout.
Tous n'ont pas participé à chaque partie. A vrai dire, je suis le seul à l'avoir fait : toutes les parties.
Nous l'avons finie à trois joueurs plus le personnage d'un autre joueur en pnj.
Et je dois dire que c'est satisfaisant...
Il y a de nombreux ennemis.
Un voyage plein de promesses en Australie encore à faire.
Une société secrète, le croissant de lune, à former avec un réseau pouvant être en partenariat avec des mystiques chinois, égyptiens et des ninjas.
Des deals avec l'industrie japonaise à traiter pour mon milliardaire.
Un nouvel horizon pour mon personnage de milliardaire : la contrée des rêves, il est devenu un rêveur.
En échange, il est clair que les trois personnages de la dernière partie sont sur les rotules.
Il y en a un qui se prend pour la 777ème réincarnation d'un sorcier nommé Eibon et qui est devenu sectateur d'une entité du mythe, n'hésitant pas à sacrifier des prostituées à son Dieu.
Il y a le personnage de ma fille qui est en partie possédé par un fantôme qui veut se venger de son mari.
Il y a mon personnage, revenu de la mort par poignard dans le coeur une fois au Caire, revenu d'une attaque magique au coeur, grand fumeur de cigares et amateur de scotch qui vient de voir sa santé diminuée fortement et qui finit cardiaque.
En termes purs de jeu, si les personnages ont regagné de la santé mentale, ils ont aussi perdu beaucoup de leur pouvoir pour forger un artefact et le mien a perdu l'équivalent d'un peu de sa constitution (le coeur qui lâche).
C'est assez intéressant pour le futur où les personnages risquent de se retrouver à rejouer dans le système de jeu classique de l'appel de Cthulhu et seront traduits d'un nouveau système appelé gumshoe très bien pour faire des one-shot mais absolument sans fondement pour jouer pulp ou sur la durée (à moins de créer vraiment des règles annexes pour la récupération de certaines réserves dépensées qui laissent le pj - et le joueur - très dubitatif sur ses chances de continuer l'aventure sinon).
J'ai hâte de pouvoir rejouer monsieur Faust, ne serait-ce qu'en mentor de l'organisation qu'il va créer, à la recherche d'un moyen de trouver une nouvelle jeunesse, ou à défaut un coeur plus vaillant, pour éliminer les engeances fort néfastes rencontrées dans le scénario
Un fantasme de joueur. Avoir un milliardaire avec du vécu qui a les moyens de fonder sa société ésotérique et d'aventuriers secrète. Une organisation bien pensée, avec des alliés de poids et un partenaire économique sympathique (au japon).
Plusieurs joueurs ont eu l'occasion de passer à la table.
Tous n'ont pas été jusqu'au bout.
Tous n'ont pas participé à chaque partie. A vrai dire, je suis le seul à l'avoir fait : toutes les parties.
Nous l'avons finie à trois joueurs plus le personnage d'un autre joueur en pnj.
Et je dois dire que c'est satisfaisant...
Il y a de nombreux ennemis.
Un voyage plein de promesses en Australie encore à faire.
Une société secrète, le croissant de lune, à former avec un réseau pouvant être en partenariat avec des mystiques chinois, égyptiens et des ninjas.
Des deals avec l'industrie japonaise à traiter pour mon milliardaire.
Un nouvel horizon pour mon personnage de milliardaire : la contrée des rêves, il est devenu un rêveur.
En échange, il est clair que les trois personnages de la dernière partie sont sur les rotules.
Il y en a un qui se prend pour la 777ème réincarnation d'un sorcier nommé Eibon et qui est devenu sectateur d'une entité du mythe, n'hésitant pas à sacrifier des prostituées à son Dieu.
Il y a le personnage de ma fille qui est en partie possédé par un fantôme qui veut se venger de son mari.
Il y a mon personnage, revenu de la mort par poignard dans le coeur une fois au Caire, revenu d'une attaque magique au coeur, grand fumeur de cigares et amateur de scotch qui vient de voir sa santé diminuée fortement et qui finit cardiaque.
En termes purs de jeu, si les personnages ont regagné de la santé mentale, ils ont aussi perdu beaucoup de leur pouvoir pour forger un artefact et le mien a perdu l'équivalent d'un peu de sa constitution (le coeur qui lâche).
C'est assez intéressant pour le futur où les personnages risquent de se retrouver à rejouer dans le système de jeu classique de l'appel de Cthulhu et seront traduits d'un nouveau système appelé gumshoe très bien pour faire des one-shot mais absolument sans fondement pour jouer pulp ou sur la durée (à moins de créer vraiment des règles annexes pour la récupération de certaines réserves dépensées qui laissent le pj - et le joueur - très dubitatif sur ses chances de continuer l'aventure sinon).
J'ai hâte de pouvoir rejouer monsieur Faust, ne serait-ce qu'en mentor de l'organisation qu'il va créer, à la recherche d'un moyen de trouver une nouvelle jeunesse, ou à défaut un coeur plus vaillant, pour éliminer les engeances fort néfastes rencontrées dans le scénario
Un fantasme de joueur. Avoir un milliardaire avec du vécu qui a les moyens de fonder sa société ésotérique et d'aventuriers secrète. Une organisation bien pensée, avec des alliés de poids et un partenaire économique sympathique (au japon).
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