Grui.
Bon.
C'est fini.
La
synchronicité des choses dans ma tête et d'un livre posé sur la
table de nuit de la dernière soirée m'a fait commander à la suite
d'une erreur de manip (où je voulais vérifier les frais de port) le
livre de notre hôte.
Je
donne le lien.
C'est
toujours sympa d'avoir un hôte artiste, ça pousse à la devenir le
plus.
Bref.
C'est
fini. Hein.
Obligé de commander du Burger King le midi (hum, heureusement qu'il y avait un truc végétarien potable dedans et qu'on peut avoir de l'eau dans le menu, mais euuuuh, comment dire. Faut pas manger les gens, faut pas manger ces merdes.)
Obligé de commander du Burger King le midi (hum, heureusement qu'il y avait un truc végétarien potable dedans et qu'on peut avoir de l'eau dans le menu, mais euuuuh, comment dire. Faut pas manger les gens, faut pas manger ces merdes.)
On
part en avant-dernier du ferry. Si si si. Avant-dernier. En arrivant
dans les premiers pourtant.
Et
au retour le GPS nous fait passer dans toutes les banlieues nord de
Paris (nous rajoutant plus de trois-quart d'heure de route). Mais
comment dire ?
J'ai
tout regardé avec l'oeil du touriste anglais qui débarquerait en
France. Et là, y avait de quoi prendre une claque... L'air de repos
de la Baie de Somme était magnifique et toute la banlieue du Nord et
Nord-Est parisien, bien que moche au niveau des bâtiments (mais
pourquoi on a construit des trucs aussi laids) était incroyable au
niveau du melting pot.
Mais
passons.
Le
temps de ranger les affaires, de manger français avec des fruits et
de retrouver un peu le fils. Et voilà.
C'est
fini.
Mais
c'est bien. Très bien.
On
est formés par les voyages. On en ressort toujours plus grand. Je
vais maintenant digérer ce que j'ai appris.
La
page du jour :
Le
blog du fils un peu plus tard.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire