Tranquilles, peinards, sereins (enfin
sereins, j'ai un truc sur la gueule dont je ne peux causer pour
l'instant mais qui perturbe un peu), vifs (enfin vifs, ma douleur au
pouce gauche acquise lors d'une chute au théâtre voici quelques
années s'est réveillée vive et j'ai bien le dos en compote). J'ai
passé plus de temps que je ne l'aurais crû sur la réécriture d'un
texte de théâtre pour le pestak du vendredi mais je me suis fait
une raison.
C'est bien la raison.
En premier, avec un texte sur la bière,
je voulais faire vibrer sur l'arène de la poésie et de
l'emportement des sens.
Mais avec le dispositif de mise en
scène et la teneur des textes qui entourent, j'ai préféré changer
mon fusil d'épaule et faire quelque chose de drôle.
Un sketch quoi, simple, avec des
ressorts qui marchent tout le temps si c'est bien joué.
Normalement, c'est avec une joie
presque sans nom que j'ai appris que le bar de l'abbaye de
Westvleteren était ouvert demain et j'espère pouvoir faire quelques
courses (des cartons à ramener) mais si ce n'est pas le cas, tant
pis, je resterai sur mon objectif de découvrir 17 bières pendant le
séjour ou d'en ramener 17 que je ne connais pas.
C'est un voyage un peu étrange pour la
raison du truc sur la gueule, sans compter l'étonnante semaine de
catastrophes personnelles arrivée à plusieurs membres du vendredi
chez Maleluka, mais suivant les conseils de notre grande Jenny, on va
en profiter un max. Et c'est bien nécessaire.
Je me permets tout de même de placer
la page du premier mai :
Et je vous souhaite un aussi bon
premier mai que le mien demain.
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