La page du jour résume bien, 2...

 Normal, avec l'éléphant...

La page du jour.... (Très juste, comme souvent ces derniers temps)...

Le blog du fils (et je le remercie pour ce qu'il est)...

Et walla. Bien sûr que il y a les questions des relations entre sa mère et moi qui viennent parfois et que je sais pas...
C'est bien maman qui s'est cassé, qui voulait se casser depuis la naissance, voire même la grossesse, mais, entre autres choses, sur un truc que je n'avais pas expliqué, je me protégeais, en cas de fausse couche pour que l'un des deux soit fort. Bon, niqué, pas de paroles claires et tout en l'air.
Bien sûr que je préservais une illusion comme je pouvais et que j'aurais aimé pouvoir discuter pendant deux mois et demi plutôt qu'être seul comme une merde (il n'y a pas d'autres mots)...
Mais expliquer le désamour, c'est forcément mentir un peu, j'ai préféré dire que maman était passée du stade d'aimer à apprécier.
Peut-être n'ai-je toujours été qu'au stade d'apprécier moi-même d'ailleurs, avec ce semi-asperger sur ma tronche. Mais il n'empêche, au final... j'ai réalisé que ce n'était pas 90 (moi) / 10 (l'autre) de responsable, non, c'est 50 / 50 et les mots que j'ai fini par employer c'est que tout le monde doit être heureux ou a le droit au bonheur. Je suis en train de devoir me débarrasser du poison des mots malheureux du père, de la femme qui voulait se casser ou de moi qui me dit, ah pitin, mais pourquoi est-ce que je n'étais pas meilleur avant. Du poison absorbé, avec des briques construites dessus. Mais c'est bien. C'est pas baguette magique, mais ça vient.
Au final, ce qui compte, c'est pas de regret : sans cela Aoden ne serait pas là.
Yo.

Un peu d'images de printemps.