Onéguine

C'est avec un certain plaisir que j'ai profité du temps du train pour lire Eugène Onéguine.
Ceci dans le cadre d'un voyage en train pour aller voir l'ami Fabrice sur Paris.
Légère déception sur l'excellence de la qualité dans un restaurant tibétain (cher pour ce qu'on a mangé) mais bon, je voulais manger népalais au départ, hu hu hu...
Très belle exposition au jardin des plantes de sculptures éphémères, pas pris assez le temps de les regarder.
Intéressante visite au mémorial juif. Ça brasse toujours ces choses là, et peut-être plus encore quand on songe que certains tenants d'Israël sont d'infâmes connards sans nom sans mémoire de leur passé.
Un peu triste aperçu de l'état de notre Dame...
La jolie découverte d'une librairie anglaise.
Plaisir de retrouver un ami. Mais ça, je ne le compte pas, c'était le sel de la journée. Je le remercie pour sa critique d'embras(s)ez-Moi au demeurant qui me conforte dans ma direction première.
Non, je retiens du coup pour le titre du jour Onéguine. J'ai pris un plaisir aux mots (et encore ce n'est qu'une traduction qui ne respecte pas les vers) et à l'histoire avec la surprise finale d'une chute un peu abrupte...
Cela m'a donné envie de voir le film qui en a été fait.

Je balance le lien du blog du fils, sinon...
https://ebatbuok.blogspot.com/2019/11/coquinaine.html

La page du jour...
http://www.lapagedujour.net/novembre2019/quinzenovembre2019.htm

Et toi, ami rôliste, un dernier lien pour aider un jeune éditeur à passer le cap des 8000 euros.
https://fr.ulule.com/lcdo/

(Le con, j'ai paumé ma minerve dans la journée)

 La plus vieille maison de paris.

 Old timers...