Bonne journée.
Visite de Jérôme que j'avais pas vu depuis longtemps et qui m'a offert un pitin de cadeau d'anniversaire. Faut qu'on se fasse un week-end cet été.
Rattrapage de la journée d'avant en mode panique le matin pour monter une idée qui le fait pour pouvoir utiliser les éventuelles erreurs des enfants et en faire quelque chose de drôle.
Le truc, c'est l'impro. Improviser en plus de jouer. Se servir des erreurs pour faire rire.
On a eu une idée de génie (elle me trottait depuis le début) de scinder le pestak en deux.
Et j'ai été bluffé sur scène avec eux.
Les gamins ont été naturels, peu importe les bugs, tout passait puisque on faisait croire qu'on était en répétition générale avec un public imaginaire...
Je n'ai pas eu le temps de prendre des photos, ce sont celles de l'année dernière, mais elles vont :
http://www.lapagedujour.net/juillet2014/quatrejuillet2014.htm
J'ai adoré l'intrigue d'Anouilh du voyageur sans bagages, mais il y a une erreur pour moi manifeste de l'auteur dans le traitement de certains personnages féminins qui sont un peu gnan gnan. J'avais remarqué ça dans le bal des voleurs. La femme amoureuse, il y a un côté trop bambi ou bisounours, tout comme dans la manière d'exposer certains des éléments de l'intrigue chez Anouilh jeune, mais après tout, être didactique permet au moins de ne pas se paumer dans l'intrigue.
Du coup, je préfère pour l'instant notre pièce cette année, non pour l'intrigue (franchement pas), mais pour la dimension psychologique de certains personnages.
Le voyageur sans bagage à la moulinette de l'écriture de Koltès, ça aurait été le pestak absolu (j'adore le thème de l'amnésie).
Bonne soirée en tout cas : comédiens à fond, super décor et lumière.
J'ai juste été déçu de ne pas mieux voir un comédien que j'aime beaucoup lors d'une scène où il était caché un peu par un élément du décor sans doute pas mis assez à jardin.
Si je n'avais pas été malade, je l'aurais vu deux fois.
J'attends avec impatience samedi pour finir le pestak des enfants et voir le Brecht pour savoir le pestak que j'ai préféré cette année dans le marathon.
Ce qui m'a fait me poser la question également : quels pestaks je voudrais vraiment rejouer ou jouer dans ceux que j'ai déjà vus ?
Le Communisme raconté aux malades mentaux en un (ça aide d'avoir aussi le rôle principal, c'est sûr).
Les dix petits nègres.
Les sorcières de Salem.
Un petit jeu sans conséquences (où je n'étais pas mais bon, justement, c'est le jeu)...
L'Idiot reste à part, c'est mon rôle le plus puissant. Mais la longueur de la pièce mériterait un tranchage dans le vide de certains rôles et de certaines parties pour ramener la pièce à une durée plus raisonnable pour tout public (c'est à dire personne qui se barre au bout de deux heures).
Visite de Jérôme que j'avais pas vu depuis longtemps et qui m'a offert un pitin de cadeau d'anniversaire. Faut qu'on se fasse un week-end cet été.
Rattrapage de la journée d'avant en mode panique le matin pour monter une idée qui le fait pour pouvoir utiliser les éventuelles erreurs des enfants et en faire quelque chose de drôle.
Le truc, c'est l'impro. Improviser en plus de jouer. Se servir des erreurs pour faire rire.
On a eu une idée de génie (elle me trottait depuis le début) de scinder le pestak en deux.
Et j'ai été bluffé sur scène avec eux.
Les gamins ont été naturels, peu importe les bugs, tout passait puisque on faisait croire qu'on était en répétition générale avec un public imaginaire...
Je n'ai pas eu le temps de prendre des photos, ce sont celles de l'année dernière, mais elles vont :
http://www.lapagedujour.net/juillet2014/quatrejuillet2014.htm
J'ai adoré l'intrigue d'Anouilh du voyageur sans bagages, mais il y a une erreur pour moi manifeste de l'auteur dans le traitement de certains personnages féminins qui sont un peu gnan gnan. J'avais remarqué ça dans le bal des voleurs. La femme amoureuse, il y a un côté trop bambi ou bisounours, tout comme dans la manière d'exposer certains des éléments de l'intrigue chez Anouilh jeune, mais après tout, être didactique permet au moins de ne pas se paumer dans l'intrigue.
Du coup, je préfère pour l'instant notre pièce cette année, non pour l'intrigue (franchement pas), mais pour la dimension psychologique de certains personnages.
Le voyageur sans bagage à la moulinette de l'écriture de Koltès, ça aurait été le pestak absolu (j'adore le thème de l'amnésie).
Bonne soirée en tout cas : comédiens à fond, super décor et lumière.
J'ai juste été déçu de ne pas mieux voir un comédien que j'aime beaucoup lors d'une scène où il était caché un peu par un élément du décor sans doute pas mis assez à jardin.
Si je n'avais pas été malade, je l'aurais vu deux fois.
J'attends avec impatience samedi pour finir le pestak des enfants et voir le Brecht pour savoir le pestak que j'ai préféré cette année dans le marathon.
Ce qui m'a fait me poser la question également : quels pestaks je voudrais vraiment rejouer ou jouer dans ceux que j'ai déjà vus ?
Le Communisme raconté aux malades mentaux en un (ça aide d'avoir aussi le rôle principal, c'est sûr).
Les dix petits nègres.
Les sorcières de Salem.
Un petit jeu sans conséquences (où je n'étais pas mais bon, justement, c'est le jeu)...
L'Idiot reste à part, c'est mon rôle le plus puissant. Mais la longueur de la pièce mériterait un tranchage dans le vide de certains rôles et de certaines parties pour ramener la pièce à une durée plus raisonnable pour tout public (c'est à dire personne qui se barre au bout de deux heures).
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