Jour 4
Ah ben non.
Pas 14 degrés en fait.
Mais plutôt 8 ou 9, bien en dessous
des moyennes saisonnières. Joie.
La journée est plutôt marquée par des images.
La journée est plutôt marquée par des images.
Magnifiques paysages sur la route 1 qui
mène jusqu'à la 75 pour remonter sur Saudarkraukur. Le gros regret
est le manque de possibilité de s'arrêter pour faire des photos de
la vallée sublime.
L'arrêt dans un tout petit bled au début de la 75 dont j'ai absolument oublié le nom pour observer des vieilles maisons en terre avec des toits végétaux...
L'arrêt dans un tout petit bled au début de la 75 dont j'ai absolument oublié le nom pour observer des vieilles maisons en terre avec des toits végétaux...
De magnifiques paysages enneigés au
loin sur la 76 qui remonte jusqu'à Siglufjördur.
Une petite balade dans le froid dans l'ombre de ce qui fut un paradis de la pêche au hareng. Bien niché au creux de plusieurs montagnes, la ville est isolée et les petits enfants doivent bien s'embêter l'été, les bougres.
Deux longs tunnels à travers les montagnes pour faire la jonction jusqu'à Olafsjördur (qu'on passe sans intérêt).
Une petite balade dans le froid dans l'ombre de ce qui fut un paradis de la pêche au hareng. Bien niché au creux de plusieurs montagnes, la ville est isolée et les petits enfants doivent bien s'embêter l'été, les bougres.
Deux longs tunnels à travers les montagnes pour faire la jonction jusqu'à Olafsjördur (qu'on passe sans intérêt).
Et plouf, la deuxième ville du pays,
Akureyri, qu'on a pris la peine de visiter. Elle est particulièrement
notable de notre court point de vue pour son jardin botanique, le
plus septentrional du monde, parait-il.
Un arrêt dans un café m'a permis de goûter une des bières locales, la brìo, qui se laisse assez facilement boire. Et j'ai aussi testé plus tard à l'auberge de jeunesse la lava, une stout fumée qui n'est vraiment pas désagréable du tout. Ceci compense largement les malheureux essais culinaires des premiers jours.
Un arrêt dans un café m'a permis de goûter une des bières locales, la brìo, qui se laisse assez facilement boire. Et j'ai aussi testé plus tard à l'auberge de jeunesse la lava, une stout fumée qui n'est vraiment pas désagréable du tout. Ceci compense largement les malheureux essais culinaires des premiers jours.
On s'est fait aussi un peu avoir sur
les courses, les magasins ferment plus tôt que dans les villes
touristiques... Mais ce n'est pas grave, on avait quelques stocks
(toujours prévoir un peu de stock si tu ne veux pas te retrouver à
acheter des trucs mous avec des chips dans une station service...)
Je reste impressionné par la beauté
des paysages, donc, le nombre de chevaux aperçus sur la route (et de
moutons aussi, mais avec l’Écosse, je suis habitué) et l'étrange
température estivale, sans doute inférieure aux normes qui fait
passer une fin de mois de juillet en dessous de dix
degrés.
Après-demain, on ira voir des baleines. Et demain, on essaiera de tester des sources chaudes.
Les animaux marquants du séjour ?
Rien de surnaturel.
Une sorte de border collie sur la route quasi déserte, pas très loin de sa ferme et une chatte, tout à l'heure, qui sort d'une fenêtre cassée pour venir se faire caresser.
Après-demain, on ira voir des baleines. Et demain, on essaiera de tester des sources chaudes.
Les animaux marquants du séjour ?
Rien de surnaturel.
Une sorte de border collie sur la route quasi déserte, pas très loin de sa ferme et une chatte, tout à l'heure, qui sort d'une fenêtre cassée pour venir se faire caresser.
On a loupé de peu le restaurant
italien ce soir.
Mais je ne désespère pas tester un
truc encore plus typique : le bête fast food (mais pas version
chaîne bien entendu, version truc local, car les restaurants sont
vraiment chers).
La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/juillet2014/trenteetunjuillet2014.htm
http://www.lapagedujour.net/juillet2014/trenteetunjuillet2014.htm