Pas pu aller soit au théâtre ce soir, ou au jeu de rôle, non, la tête et le corps ont décidé : reste à la maison, t'es une loque, repose-toi.
C'était assez rude hier soir, j'ai profité d'une accalmie, ça remonte un peu la pente aujourd'hui. Mais pas assez vite, forcément, c'est le prix : cinq jours de merdier.
Je fais une page du jour un peu colère sur "plein le cul d'être au tas".
http://www.lapagedujour.net/juin2014/vingtneufjuin2014.htm
On le serait à moins.
Je ne paye pas que mon âge.
J'ai des merdes dont j'aurais préféré me passer.
Conclusion, faut changer de point de vue dessus.
Faut arrêter de tout accepter (ce que j'ai appris à faire la plupart du temps) et faut essayer de dire merde à certaines choses, tant pis.
Bon, des fois, tu peux pas.
Y a vraiment des trucs que je peux pas faire.
Mais tant pis.
Jeudi fut la goutte d'eau qui fit déborder mon vase.
Je peux plus accepter tout.
Ni me prendre la tête.
Je vais dans le mur sinon.
Profiter du temps du vide pour rebondir.
Au moins intellectuellement si c'est pas physiquement (aujourd'hui pas possible physiquement).
Parce qu'il faut que je mette mon moral à l'aune de quelque chose qui rebondisse. Il est en train de pas aimer du tout le fond du puits le moral, là...
Plus que les loupés, c'est aussi "ne pas être là" pour les autres qui m'énerve, cette pure sensation d'être un boulet ou une grosse merde qui peut juste pas aider...
Mais passons.
Je clos en ce jour le sujet santé définitivement. Sauf pour des nouvelles de changement de statut (une nouvelle IRM, le résultat d'une rencontre avec des docteurs de la CPAM, toussa, toussa).
Je préférerais parler d'images mentales, de voyages spirituels ou d'envie d'écrire.
Là, je suis dégoûté d'avoir loupé plein de trucs ces derniers jours.
Mais eh.
Quand on peut pas, on peut pas. Juste, j'espère que je n'ai pas filé ma merde à ma femme.
Ca serait le pompon.
C'était assez rude hier soir, j'ai profité d'une accalmie, ça remonte un peu la pente aujourd'hui. Mais pas assez vite, forcément, c'est le prix : cinq jours de merdier.
Je fais une page du jour un peu colère sur "plein le cul d'être au tas".
http://www.lapagedujour.net/juin2014/vingtneufjuin2014.htm
On le serait à moins.
Je ne paye pas que mon âge.
J'ai des merdes dont j'aurais préféré me passer.
Conclusion, faut changer de point de vue dessus.
Faut arrêter de tout accepter (ce que j'ai appris à faire la plupart du temps) et faut essayer de dire merde à certaines choses, tant pis.
Bon, des fois, tu peux pas.
Y a vraiment des trucs que je peux pas faire.
Mais tant pis.
Jeudi fut la goutte d'eau qui fit déborder mon vase.
Je peux plus accepter tout.
Ni me prendre la tête.
Je vais dans le mur sinon.
Profiter du temps du vide pour rebondir.
Au moins intellectuellement si c'est pas physiquement (aujourd'hui pas possible physiquement).
Parce qu'il faut que je mette mon moral à l'aune de quelque chose qui rebondisse. Il est en train de pas aimer du tout le fond du puits le moral, là...
Plus que les loupés, c'est aussi "ne pas être là" pour les autres qui m'énerve, cette pure sensation d'être un boulet ou une grosse merde qui peut juste pas aider...
Mais passons.
Je clos en ce jour le sujet santé définitivement. Sauf pour des nouvelles de changement de statut (une nouvelle IRM, le résultat d'une rencontre avec des docteurs de la CPAM, toussa, toussa).
Je préférerais parler d'images mentales, de voyages spirituels ou d'envie d'écrire.
Là, je suis dégoûté d'avoir loupé plein de trucs ces derniers jours.
Mais eh.
Quand on peut pas, on peut pas. Juste, j'espère que je n'ai pas filé ma merde à ma femme.
Ca serait le pompon.
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