La page du jour est dessus, cet historique que je n'ai pas exploité sur les clones du pj de Thomas.
Le blog du fils, non.
Mais comme je vais l'utiliser, c'est sympa de rendre hommage et de partager.
L'historique de Joï.
Joï Barnaba Pelagia est la ‘’fille’’ de Derzon Barnaba et Jyjy Pelagia. Jyjy Pelagia était la sœur de la mère de l’actuelle dirigeante de la maison Barnaba.
Pour des raisons Complexes, les deux sœurs devaient épouser deux cousins… Là où sa sœur épousa un noble de haut rang versé dans les arts de la cour et de la diplomatie, Jyjy fut donnée en mariage à Derzon Barnaba, un homme plutôt timide et d’apparence commune.
Il avait quinze ans de plus qu’elle et ne semblait s’intéresser qu’à la science, Car il était un éminent docteur en génétique et cybernétique appliquée, ainsi qu’un chercheur de génie… Malgré leur différence d’âge et d’intérêts, la jeune femme de vingt ans et le savant de trente cinq réussirent à établir une relation cordiale puis amicale, et enfin amoureuse. Il savait la faire rire et avait une incroyable bibliothèque d’anecdotes amusantes, et quand il ne puisait pas dedans, ses commentaires scientifiques de la vie de cour étaient aux yeux, et surtout aux oreilles, de Jyjy, impayables. Donc, il la faisait rire, et elle… lui ouvrait les yeux sur un monde de sentiments. Son regard, son approbation, son sourire lui donnaient le courrage d’affronter ses pairs lors de ces ennuyeuses réunions protocolaires. Et la nuit, dans l’intimité, les deux époux se retrouvaient parfaitement, comme les personnes esseulées qu’elles étaient. Mais là, ils n’étaient plus seuls, ils avaient l’autre. Le jeune couple s’épanouit donc, chacun vaquant à ses occupations le jour, et les deux se retrouvant le soir…
Bientôt, Jyjy put annoncer à son mari que leur amour avait porté ses fruits, et qu’ils seraient bientôt trois… Cette nouvelle emplit Derzon de joie, mais aussi d’une sourde inquiétude. Jamais auparavant, il n’avait eu autant à perdre, et la peur commença à l’envahir. Il se lança alors d’arrache pied dans des travaux secrets, et manqua pour la première fois les rendez-vous nocturnes avec son épouse. Tout à sa joie de bientôt être maman, Jyjy laissa faire, pensant qu’il voulait préparer quelque chose pour leur future fille. Mais avec le temps, les absences de Derzon devenaient de plus en plus nombreuses, et Jyjy commença à s’inquiéter. C’est alors que survint l’accident… La future mère était en déplacement dans un landspeeder, lorsqu’un camionspeeder fou percuta son véhicule. Jyjy s’éveilla dans sa chambre. Elle se sentait bien. L’accident était sans doute un mauvais rêve… Portant ses mains à son ventre, elle constata avec terreur que celui-ci était plat.
Ou était la petite Kynaa ? L’avait elle perdue ? La panique commença à l’envahir…
« Du calme, ma chérie, tout va bien, dit Derzon depuis le fond de la pièce. »
Il se présenta devant elle et lui révéla ce qu’il en était : l’accident l’avait obligé à extraire leur fille du ventre de sa mère pour continuer la grossesse in-vitro, et soigner Jyjy du mieux qu’il pouvait. Toutefois, quelque chose dans son attitude ne semblait pas coller : Il lui mentait… ou du moins, ne lui disait pas tout. Inquiète, elle voulut voir sa fille, mais Derzon lui répondit qu’elle ne verrait qu’un gros tube métallique, toutefois, il l’accompagna jusque à son laboratoire et lui indiqua une sorte de grande
cuve en métal. Sur l’écran de monitoring, des signes vitaux, et une petite image infrarouge du bébé en cours de développement.
« Tu vois, elle va bien »
En partie rassurée, Jyjy se détendit et se rendit chaque jour dans le laboratoire afin de voir sa fille et lui parler. Sous l’œil bienveillant de son mari. Et la vie reprit… Une nuit, elle s’éveilla soudain, en proie à des rêves étranges, ou elle était une autre. Elle était seule dans le grand lit. Troublée, elle décida d’aller voir sa fille et se dirigea vers le laboratoire. Lorsqu’elle entra, celui-ci avait changé. La paroi du fond était relevée, et révélait des dizaines de cuves. Ces cuves contenaient… elle même ?!
Des clones… d’elle, de lui, d’une femme quelle ne connaissait pas, et d’une fillette à divers âges Au fond, la voix de son mari, altérée par la colère, retentissait :
« Bon sang, ça devrait pourtant marcher ! Allez, on refait un essai. La fusion de données devrait pouvoir s’effectuer !. »
Sentant que sa présence ne pourrait pas améliorer les choses, Jyjy retourna dans leur chambre. Ressassant les évènement étranges de cette aventure, et décida de mener sa propre enquête. Quelques jours plus tard, alors que son époux se rendait à un symposium de médecine, elle décida que le moment était venu. Elle s’était procuré quelques outils indispensables pour s’introduire dans l’enceinte sécurisée du labo et enregistrer des données. Sachant ce qu’elle cherchait, il lui fut facile d’ouvrir la partie cachée du labo, et de parvenir aux ordinateurs. Comme elle le soupçonnait, c’était une installation hors réseau, avec son système et son générateur indépendant. Etant donné que cette pièce était cachée, la protection était plutôt faible (une erreur grave, pensa t’elle, heureuse que celle-ci ait été commise). C’est dans cette base de données qu’elle découvrit la vérité qui fit basculer son existence.
Elle y découvrit qu’elle et sa fille avaient été tuées dans l’accident. Mais que son mari avait déjà sauvegardé sa mémoire, et qu’il avait simplement récupéré dans son cerveau mourant les souvenirs manquants. Qu’il les avait enregistré dans un ServoSka un Cerveau neurobiocybernétique de son invention, qu’il avait implanté, via une prothèse neurale de son invention : une SkaThèse, dans un nouveau corps cloné d’elle même. Bref, Jyjy était morte, et elle était une copie.
Mais au-delà de ça, Derzon avait aussi cloné la petite Kynaa, mais n’avait pas pu faire de servoSka de sa personnalité. Il aurait pu réimplanter l’embryon dans le nouveau corps, mais son goût de l’expérimentation avait repris le dessus, ainsi que sa peur de perdre à nouveau sa fille, at il avait alors décidé d’en faire une GynoSka également, afin de pouvoir éventuellement la ‘’sauver’’ encore. Malheureusement, sans implant de personnalité, la petite Kynaa ne pourrait pas recevoir de servoska, et la technologie exige que l’individu scanné ait une personnalité bien développée, ce qui n’est pas le cas d’un nourrisson. Aussi Derzon tentait-il d’en créer une en mélangeant les enregistrements de leurs deux personnalités avec des atténuateurs temporaires.
Elle découvrit aussi que les expériences de son mari avaient été plus loin, que les clones de la jeune femme inconnue etaient issus d’une danseuse style erotico-bantha-girl qu’il avait admiré durant sa jeunesse. Il lui avait assossié des programmes de danse et de trucs de bantha-girl, mais s’était servi de son servo à elle, Jyjy, pour lui redonner vie. Ce qui faisait quelle avait les souvenirs et savoirs d’une autre dans un recoin de son ServoSka.
Elle vit également que le mari qu’elle avait aimé était mort depuis quelques temps, victime du premier cervoskanner, qui l’avait tué, et que celui avec qui elle couchait actuellement n’était qu’une mauvaise copie. En effet, le servoska de Derzon a été surchargé durant la procédure, à cause de l’intellect supérieur du savant, pour lequel il n’était pas prévu.
Du coup, le nouveau Derzon a une matrice de personnalité instable, ce qui peut donner des symptômes de folie. Malgré son désarroi et sa peur, elle décida de ne rien dire, et de préparer soigneusement son départ. Elle téléchargea toutes les données permettant de construire les équipement ska et patiemment fit l’acquisition d’un vaisseau ou installer son labo personnel.
Elle prit avec elle les échantillons d’ADN d’elle même, de sa fille et de la danseuse, ainsi que les enregistrement spécifiques les concernant, et organisa sa mort. Non sans avoir créé l’identité de Joï, une soi disant fille du couple.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire