L'instant poète...

Merci au printemps des poètes.
J'aurais aimé aller voir tout cette semaine, mais la responsabilité de papa et celle, le soir, de théâtreux, a fait que.
Je vais rattraper mon retard ce week-end.

Et puis, sinon, ben.
La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mars2019/vingttroismars2019.htm

Le blog du fils :
https://ebatbuok.blogspot.com/2019/03/happyness.html

Et euh...
Un vrai truc qui me perturbe depuis quelques jours et que je traite en vidéo.
Oui, je défends le droit de pouvoir écouter/lire/profiter d'une oeuvre indépendamment de la saloperie éventuelle d'un artiste.
Mais oui, je comprends qu'on puisse ne pas tolérer le lire, l'écouter ou en profiter si on est pénétré par le fait que putain, le batard.
Et c'est ça avec Michaël Jackson. Je me souviens à l'époque m'être dit naïvement. Boh, c'est un gosse, c'est juste qu'il est resté un gosse et rien ne s'est passé de méchant.
Mais non.
Le con.
C'était une pourriture (y a trop de fumée, vraiment) et on a été leurrés ou on s'est leurrés.
Et du coup, ouais, j'ai du mal à le réécouter, voire à chanter un bout d'une chanson à lui dans un spectacle. Mais vraiment du mal. C'est pas que irrationnel. J'ai ce même mal avec cette foutue religion qui couvre des scandales.
J'ai pas moins raison que ceux qui savent détacher art et saloperie de l'artiste ou amour du prochain et saloperie de certains.
Mais bref.
J'avais besoin d'une petite catharsis. Merci le nain.