Jour
14 Alan et Pete.
Wombat
en ouvrant la tente. Salut à la lune dans la nuit. Gros salut. Pas
la peur des serpents aperçus dans la journée. Wallabies et wombat
le matin, pour un petit tour encore de nature, de vie animale. Je
suis en besoin de voir des bêtes courir ou s'ébattre, sauvages...
Balade
à Baker Point et Baker Beach en poussant avec la voiture. Bien
normal, autant tout faire du parc dans la mesure des moyens qu'on
avait mis dedans. Le camping de la plage est rempli. Je laisse des
souvenirs de mon sac médecine là-bas, un juste échange etre le
pris quelque part et le rendu ailleurs.
Arrêts à Launceston (dont un stop au Venocci mais pas avec le même serveur – deux femmes cette fois-ci, dont une en training) et Oatlands (et re-pain mais pas croissant).
Arrêts à Launceston (dont un stop au Venocci mais pas avec le même serveur – deux femmes cette fois-ci, dont une en training) et Oatlands (et re-pain mais pas croissant).
Beaucoup
de bêtes mortes sur la route. Trop. Je m'endors pas mal. J'ai du mal
à ne pas m'endormir quand je ne conduis pas. La fatigue du cou et de
l’œil, je suppose.
Rencontre
avec Jacques l'ami d'Eric et Linda. Un vieux lion à crinière
blanche qui a bossé sur des chantiers pendant 26 ans en Australie et
une douzaine d'années en Nouvelle-Calédonie. Il en a profité pour
voyager, pour bouger.
Et
puis... et puis... Soirée chez Alan et Pete.
Beaucoup
de gens intéressants. Un couple tasmanien / japonaise. Un couple
anglais / mauricien. Beaucoup d'histoires et de tranches de vie. Et
le regret franc de quitter ce genre de personnes sympas et aimables.
Nous avons pu goûter une sorte de pavlova arrangée, le dessert
local et j'ai eu le temps de m'apercevoir que j'étais amoureux des
cocktails gays ou de filles. Cosmo est une révélation.
Il
va falloir que je garde des nouveaux contacts sur Facebook.
Absolument. Des personnes à rencontrer sur Londres et sur Hobart,
c'est intéressant, non ?
Jour
15 fin d'année...
Balade
en ville le matin. Les bateaux de la course, nombreux, les cadavres
de bières à côté des bateaux, encore plus... Flash sur un cargo
nommé Tacoma, j'ai envie qu'il soit un des bateaux des personnages
de Shadowrun, j'ai pris quelques photos et un petit film...
Nous glissons ensuite vers le wine and food testing : bière, pizza bio et plat éthiopien, ginger beer on tap. En gros. Mais il y avait tellement d'autres choses à goûter. Je pense que l'on ira faire un petit tour le 2 si l'occasion fait le larron. Si.
Nous glissons ensuite vers le wine and food testing : bière, pizza bio et plat éthiopien, ginger beer on tap. En gros. Mais il y avait tellement d'autres choses à goûter. Je pense que l'on ira faire un petit tour le 2 si l'occasion fait le larron. Si.
Balade
en ville l'après-midi, pas de Game of Thrones dans le magasin de
Dvds. J'aurais voulu laisser un cadeau pour toute la famille... Mais
bref, une commande par Amazon est toujours possible. Quelques achats
à l'armée du salut, j'embarque un sac et un pantalon, ça change de
l'horrible maillot de bain et des pompes noires affreuses achetées
pour le spectacle du 24 et 25. Pas de piquets de tentes dans un
magasin qui en vend (des tentes) pourtant.
Dîner
avec Jacques, je goûte les saucisses de mouton achetées hors de
prix dans la fromagerie, fin du premier feu d'artifice lorsque nous
arrivons en ville, balade avec Jacques pour lui montrer quelques
coins qu'on connaît, pub irlandais (Guiness et Ginger Beer on tap)
donnant sur la rue pour prendre l'ambiance de la ville, deuxième feu
d'artifice sur les quais avec en gros plan un bateau restauré à
l'ancienne, retour à la maison, derniers échos de 2012 sur une sale
année qui a quand même bien finie.
Exploration
internet pour connaître le prix français du whisky tasmanien. Il
vaut mieux l'acheter sur place.
Je
me tâte. Je me tâte. Je me tâte...
Jour
16, première année d'une nouvelle ère.
Le
matin lever tard, le téléphone a sonné longtemps, trop tôt.
Nous
partons faire un tour vers un site magnifique, celui des Hartz
Mountain. Et bon sang, on a fait que les trois petits chemins
accessibles aux touristes de base, vaincus par le temps très
écossais. J'aurais aimé faire la balade vers le lac Esperance. Mais
la montagne était rebelle. Et je me suis dit qu'il faudrait
recommencer ça une autre fois. J'aurai une autre fois. J'aurai une
autre fois.
Retour
à la maison, je dors. L'oeil et le cou, toujours. Quelques courses
pour ramener des trucs dans la valise (des trucs à grailler) et
achats de cerises sur le bord de la route.
Je
suis parti prenant pour faire la balade du Mont Nelson, à deux
kilomètres d'ici mais le temps et mes intestins ne sont pas de la
partie. Je crois que je viens de vider tout le mal de l'an 2012 en
une seule fois.
Il
n'est pas dans mon habitude de rester assis aux toilettes longtemps,
mais là je me suis permis de le faire en entamant un truc que je
voulais lire depuis un moment : un roman de Nigel Findley. Oui.
Une égérie. J'admire sa capacité à rendre les personnages et en
particulier des personnages féminins.
Il
s'agit d'un roman apparemment écrit pour une gamme de jeu de rôle
et de jeux de batailles appelée Battletech mais le début semble
plutôt se passer de nos jours.
Bizarre.
On verra ça.
Premier
chapitre lu.
Ce
soir, ça sera Star Trek, vu il y a trois ans dans des mauvaises
conditions dans l'avion qui revenait d'Australie.
Vers
l'infini et au-delà.
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