1 heure 10, le 17...
Couché plus tôt, les rêves sont plus vifs. Il y a sans doute une femme qui me guide dedans. Cette nuit, il y avait beaucoup, beaucoup de monde. Plein d'invités dans un mariage où je m'incrustais plus ou moins. Un temps assez gris aussi mais de la campagne, mon dieu, de la campagne comme on aurait envie d'aimer.
Vous savez ce qui serait bien dans le futur ?
Une machine qui puisse enregistrer les rêves qu'on fait. Il y en a quand même beaucoup que je me repasserais. Il y aurait certainement à des moments de l'introspection, du genre que signifient ces animaux qui se camouflent dans une sorte de vivarium ?
Mais je continue à penser que c'est si frustrant de ne pas connaître les moments dans sa vie où on est le plus libre, le plus maître d'un univers et le plus à même d'avoir tout ce qu'on veut.
Je vais essayer de rêver de mon vieux pour son anniversaire, tiens. J'ai un cadeau ou une conversation que j'aimerais bien avoir avec lui.
Ca sera demain soir, après la partie de poker qui remplace le cours de théâtre, annulé pour cause de pièce passée (une pièce méga chiante pour moi : j'aime pas le théâtre sérieux - sauf Shakespeare, je suis à peu près sûr de pas aimer Duras et avec un sujet comme la "Douleur", je suis à peu près certain que ça traitera pour moi du fait d'avoir payer pour m'infliger un truc qui va me faire chier...
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