On aura le même titre sur les deux blogs, parce que je me suis planté, j'ai posté d'abord sur le mien...
Breeeeeef.
Du mucus que tu crois que tu vas te noyer dedans.
L'hernie plus en folie que jamais, le niveau de douleur étant à devenir dingue. Une personne normale, pas habitué à ce niveau se jetterait par la fenêtre je pense. C'est intéressant de constater que dans le pire, tu connais une de tes qualités majeures : la résilience. Mais je me serai passé d'avoir le niveau max du fait des éternuements à répétition qui ont entraîné des chaînes de réaction me laissant dans l'état d'un papy de 90 ans.
Passons.
Le blog du fils, donc...
https://ebatbuok.blogspot.com/2020/02/aoden-semaine-162.html
La page blog (et con) du jour
http://www.lapagedujour.net/fevrier2020/vingtetunfevrier2020.htm
Les trois photos du jour...
J'aime bien cette branche, je ne l'ai pas jetée. Elle me fait penser qu'il y a du beau dans les choses cassées...
Et comme je suis cassé, et que j'aurais bien envie d'être beau :)
Forcément, je suis obligé d'aimer sans avoir à donner d'explication...
Il y a une grosse fleur jaune perdue dans le décor que j'espère voir sur quelques jours de ce printemps en avance...
Ah si...
J'ai oublié de parler de trois trucs...
Une frustration de l'ego sur les coupes qu'on va devoir faire sur Les Mains Sales (une vague sensation de voir un second rôle sur trois scènes se transformer en figurant après deux coupes drastiques sur deux des trois scènes). Passé quelques minutes de grr bien naturelles, je me suis mentalement repositionné en servant non impliqué dans la création (en toute situation, tu peux reconsidérer ta vision des choses, en éliminant celle qui est frustrante pour considérer autrement). Je rends juste service avec un des seuls talents que je possède pas impacté par l'invalidité et je n'ai plus aucune pression ou frustration. On sert l'intérêt de ramener le truc à deux heures et quart et l'absence totale de pression du coup (en dehors du trac avant de jouer, même pour quelques lignes) me laisse la place pour les autres projets. Et d'ailleurs, je me suis dès le départ dit que c'est un projet qui aurait pu souffrir seulement 4, voire 5 comédiens... c'eut été largement possible de ne se concentrer que sur les 4 rôles qui comptent. Tant que la dramaturgie principale, c'est-à-dire surtout les quatre personnages principaux sont maintenus, le sens de cette pièce peut rester dans une telle adaptation.
Pouf, j'ai écrit ce que j'avais à écrire, ça va mieux.
Deuxième chose, le rêve de cette après-midi. Je sauvais un petit oiseau d'une faille sur un viaduc et celui ci se transformait ensuite en être quasi féérique à fourrure prêt à bondir dans un ruisseau en contrebas où nageait une loutre très colorée et aux poils touffus en dépit du fait qu'elle était sous l'eau.
Ce petit animal, je vais presque autant le regretter que les deux compagnons de la veille dans mon rêve. Etrange, non...
Sous la douche, j'ai eu une idée de pièce à partir d'une autre idée qui m'a trotté dans la tête. Tous les dialogues de la première scène, je les récitais à mesure.
Il faudrait que je rédige ça ce soir.
Il faudrait. Mais ouille. A voir. J'ai déjà oublié le titre. Les fulgurances, faudrait les écrire d'un coup.
Mais bref, je vais quand même essayer. Sait-on jamais...
Breeeeeef.
Du mucus que tu crois que tu vas te noyer dedans.
L'hernie plus en folie que jamais, le niveau de douleur étant à devenir dingue. Une personne normale, pas habitué à ce niveau se jetterait par la fenêtre je pense. C'est intéressant de constater que dans le pire, tu connais une de tes qualités majeures : la résilience. Mais je me serai passé d'avoir le niveau max du fait des éternuements à répétition qui ont entraîné des chaînes de réaction me laissant dans l'état d'un papy de 90 ans.
Passons.
Le blog du fils, donc...
https://ebatbuok.blogspot.com/2020/02/aoden-semaine-162.html
La page blog (et con) du jour
http://www.lapagedujour.net/fevrier2020/vingtetunfevrier2020.htm
Les trois photos du jour...
J'aime bien cette branche, je ne l'ai pas jetée. Elle me fait penser qu'il y a du beau dans les choses cassées...
Et comme je suis cassé, et que j'aurais bien envie d'être beau :)
Ah si...
J'ai oublié de parler de trois trucs...
Une frustration de l'ego sur les coupes qu'on va devoir faire sur Les Mains Sales (une vague sensation de voir un second rôle sur trois scènes se transformer en figurant après deux coupes drastiques sur deux des trois scènes). Passé quelques minutes de grr bien naturelles, je me suis mentalement repositionné en servant non impliqué dans la création (en toute situation, tu peux reconsidérer ta vision des choses, en éliminant celle qui est frustrante pour considérer autrement). Je rends juste service avec un des seuls talents que je possède pas impacté par l'invalidité et je n'ai plus aucune pression ou frustration. On sert l'intérêt de ramener le truc à deux heures et quart et l'absence totale de pression du coup (en dehors du trac avant de jouer, même pour quelques lignes) me laisse la place pour les autres projets. Et d'ailleurs, je me suis dès le départ dit que c'est un projet qui aurait pu souffrir seulement 4, voire 5 comédiens... c'eut été largement possible de ne se concentrer que sur les 4 rôles qui comptent. Tant que la dramaturgie principale, c'est-à-dire surtout les quatre personnages principaux sont maintenus, le sens de cette pièce peut rester dans une telle adaptation.
Pouf, j'ai écrit ce que j'avais à écrire, ça va mieux.
Deuxième chose, le rêve de cette après-midi. Je sauvais un petit oiseau d'une faille sur un viaduc et celui ci se transformait ensuite en être quasi féérique à fourrure prêt à bondir dans un ruisseau en contrebas où nageait une loutre très colorée et aux poils touffus en dépit du fait qu'elle était sous l'eau.
Ce petit animal, je vais presque autant le regretter que les deux compagnons de la veille dans mon rêve. Etrange, non...
Sous la douche, j'ai eu une idée de pièce à partir d'une autre idée qui m'a trotté dans la tête. Tous les dialogues de la première scène, je les récitais à mesure.
Il faudrait que je rédige ça ce soir.
Il faudrait. Mais ouille. A voir. J'ai déjà oublié le titre. Les fulgurances, faudrait les écrire d'un coup.
Mais bref, je vais quand même essayer. Sait-on jamais...
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