Je suis revenu sur un de mes trois rôles phares, pas tant phare pour ce que sont ces rôles, mais phares en tant qu'expérience de comédien...
Et comment dire ?
L'un fait onze minutes (un second rôle), l'autre quinze (un premier rôle), le dernier (celui de Zoo, qu'on peut mettre en un des rôles principaux, car je ne vois pas de premier rôle dans cette pièce) en fait vingt et doit être le plus gros que j'ai dû apprendre.
Et je me suis rendu compte que 8 minutes, c'est la base syndicale que j'aimais au moins jouer sur scène. À moins je suis frustré, sauf s'il s'agit de rendre service à un groupe qui manque de quelqu'un (comme je l'avais fait pour les quais de Ouistreham)...
Je ne peux pas me plaindre sur cette année.
Y aura eu V.O.D (en gros la base syndicale), le songe d'une nuit d'Été (toujours la base syndicale), Zoo samedi prochain, deux lectures (une pour les poètes sur un poète africain et une autre déjà donnée sur Michel GrosGurin) et il reste encore trois autres spectacles entre l'intergroupe, le mercredi et le vendredi (où je me suis toujours posé à moins que la base syndicale, mais à dix-huit, c'est compliqué et où cette année,j'avais pas envie de poser moins).
Je crois que le projet est d'entraîner mon p'tit cerveau à des gros rôles (ou rôles dans des pièces à peu) de plus de vingt minutes (puisque je garde dans ma tête en ce moment près de quarante minutes de texte) pour aussi activer assez vite Embras(s)ez-moi.
Je crois que j'ai besoin de "partir" avec un peu de bille en tête, la connexion n'est pas la même, dans mon cas, avec un petit rôle... Il faut que je sois assez occupé toute la pièce, sinon, quelque chose se passe dans le long temps d'attente dans les coulisses (bon, si on est pas dans les coulisses, ça passe mieux par contre) qui me ramène à l'écran des douleurs ou de la réalité. Il y a sans doute un peu d'ego qui est parvenu à réaliser ces derniers années qu'il était plutôt bon, en plus, alors autant en profiter un peu... Et il y a aussi l'envie absolue de jouer certains rôles qui vient, comme ça. Ou de les rejouer s'ils furent marquants... J'ai souvent de l'amour premier pour un rôle et un seul et un coup de cœur ou coup de challenge pour un second. Je crois que c'est cet appel du feeling qui fait que le rôle dont tu as absolument envie doit te taper dans l’œil rapidement. Je n'aime pas réfléchir sur des choix, ils doivent venir directement. Un peu comme une envie de personnage de jeu de rôle.
Je réalise aussi que j'ai des risques de me retrouver dans le groupe du vendredi pour la dernière année (ou alors, j'aurais toujours trois quart d'heure de retard), ma femme pouvant légitimement demander à avoir sa soirée du vendredi pour son yoga.
J'ai envie de faire quelque chose qui pète dans toutes les directions cette année, et à partir de toujours.
J'ai, je crois eu la chance, d'à peu près jouer toujours ce que j'avais bien voulu jouer...
Mais y a un truc qui me travaille un peu cette semaine, pour ne pas frustrer, en cas (tout n'est que putatif) quelqu'un...
Peut-être juste un peu d'écume sur la vague qui traverse le ciel orangé...
Par ailleurs, j'en suis aussi arrivé à un stade où j'ai besoin de défis, de continuer de faire des choses qui me permettent de devenir meilleur, de me dépasser. J'ai de la chance, cette année, celle de la naissance de mon fils, devrait aider à cela et vu le nombre de projets, y a de quoi faire.
http://www.lapagedujour.net/fevrier2017/septfevrier2017.htm
Et comment dire ?
L'un fait onze minutes (un second rôle), l'autre quinze (un premier rôle), le dernier (celui de Zoo, qu'on peut mettre en un des rôles principaux, car je ne vois pas de premier rôle dans cette pièce) en fait vingt et doit être le plus gros que j'ai dû apprendre.
Et je me suis rendu compte que 8 minutes, c'est la base syndicale que j'aimais au moins jouer sur scène. À moins je suis frustré, sauf s'il s'agit de rendre service à un groupe qui manque de quelqu'un (comme je l'avais fait pour les quais de Ouistreham)...
Je ne peux pas me plaindre sur cette année.
Y aura eu V.O.D (en gros la base syndicale), le songe d'une nuit d'Été (toujours la base syndicale), Zoo samedi prochain, deux lectures (une pour les poètes sur un poète africain et une autre déjà donnée sur Michel GrosGurin) et il reste encore trois autres spectacles entre l'intergroupe, le mercredi et le vendredi (où je me suis toujours posé à moins que la base syndicale, mais à dix-huit, c'est compliqué et où cette année,j'avais pas envie de poser moins).
Je crois que le projet est d'entraîner mon p'tit cerveau à des gros rôles (ou rôles dans des pièces à peu) de plus de vingt minutes (puisque je garde dans ma tête en ce moment près de quarante minutes de texte) pour aussi activer assez vite Embras(s)ez-moi.
Je crois que j'ai besoin de "partir" avec un peu de bille en tête, la connexion n'est pas la même, dans mon cas, avec un petit rôle... Il faut que je sois assez occupé toute la pièce, sinon, quelque chose se passe dans le long temps d'attente dans les coulisses (bon, si on est pas dans les coulisses, ça passe mieux par contre) qui me ramène à l'écran des douleurs ou de la réalité. Il y a sans doute un peu d'ego qui est parvenu à réaliser ces derniers années qu'il était plutôt bon, en plus, alors autant en profiter un peu... Et il y a aussi l'envie absolue de jouer certains rôles qui vient, comme ça. Ou de les rejouer s'ils furent marquants... J'ai souvent de l'amour premier pour un rôle et un seul et un coup de cœur ou coup de challenge pour un second. Je crois que c'est cet appel du feeling qui fait que le rôle dont tu as absolument envie doit te taper dans l’œil rapidement. Je n'aime pas réfléchir sur des choix, ils doivent venir directement. Un peu comme une envie de personnage de jeu de rôle.
Je réalise aussi que j'ai des risques de me retrouver dans le groupe du vendredi pour la dernière année (ou alors, j'aurais toujours trois quart d'heure de retard), ma femme pouvant légitimement demander à avoir sa soirée du vendredi pour son yoga.
J'ai envie de faire quelque chose qui pète dans toutes les directions cette année, et à partir de toujours.
J'ai, je crois eu la chance, d'à peu près jouer toujours ce que j'avais bien voulu jouer...
Mais y a un truc qui me travaille un peu cette semaine, pour ne pas frustrer, en cas (tout n'est que putatif) quelqu'un...
Peut-être juste un peu d'écume sur la vague qui traverse le ciel orangé...
Par ailleurs, j'en suis aussi arrivé à un stade où j'ai besoin de défis, de continuer de faire des choses qui me permettent de devenir meilleur, de me dépasser. J'ai de la chance, cette année, celle de la naissance de mon fils, devrait aider à cela et vu le nombre de projets, y a de quoi faire.
http://www.lapagedujour.net/fevrier2017/septfevrier2017.htm
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