Ouais.
La route est longue.
On va dire que ce soir, n'ayant pas le jeu de rôle habituel et ayant tout ce qui a plané sur ma tête (je passe des détails, mais faut encore que je digère pas mal de choses), j'ai fait tout seul un ordre de dégustation qu'il serait difficile financièrement d'offrir à plusieurs personnes.
J'ai plongé dans l'univers de trois IPA et me suis fait cueillir un peu après manger par un léger choc en retour.
Le bon chiffre pour la dégustation, c'est deux...
Trois, ça doit rester très irrégulier. Parce que de toutes les manières, je ne suis pas fan de la griserie retour de bâton.
Ceci dit, la page du jour explique mieux les choses.
http://www.lapagedujour.net/juin2016/dixjuin2016.htm
Il y a un petit côté, allez, on se laisse aller à deux jours de son anniversaire parce que de toutes les manières le reste de juin va être un peu studieux et que ça va pas être vraiment possible de déguster la bière quotidienne.
Ce qui est bon pour le foie l'est moins pour les douleurs. Je confirme l'effet anesthésiant de trois bières, hein. Ou même d'une seule.
Mais je...
Quoi ?
Si j'ai l'impression d'être alcoolique ?
Ah... ben oui. Une bière par jour, c'est déjà ça. Alors, deux, tu penses.
Je suis très perturbé par une quantité qui serait tout à fait normale et sans conséquences pour nombre de personnes à cause d'un historique familial assez méchant...
Et d'ailleurs, ce n'est pas tant l'alcool qui m'intéresse que la dégustation... Et je dirais presque que ma partie préférée, c'est ce qui vient après l'odeur (quand j'arrive à la sentir) et le goût : c'est l'après goût, la longueur en bouche.
Une caractéristique, la longueur en bouche, que je ne connais pour l'instant que dans l'amertume des bières ou le whisky.
S'il fallait choisir un chemin non artistique, la zythologie serait certainement quelque chose qui m'intéresserait.
La route est longue sur la gestion de la douleur.
J'y arrive mieux. C'est sûr, parce que je fais un peu ce que je veux ces derniers temps, que j'applique la méthode du "Carpe Diem" et que j'ai, effectivement, un palais exigeant en matière d'alcool...
Si exigeant que je ne peux plus consommer les bières dans les bars classiques si elles ne proposent que des demi de base...
"Carpe Diem". Consommons moins, mais mieux.
La route est longue.
On va dire que ce soir, n'ayant pas le jeu de rôle habituel et ayant tout ce qui a plané sur ma tête (je passe des détails, mais faut encore que je digère pas mal de choses), j'ai fait tout seul un ordre de dégustation qu'il serait difficile financièrement d'offrir à plusieurs personnes.
J'ai plongé dans l'univers de trois IPA et me suis fait cueillir un peu après manger par un léger choc en retour.
Le bon chiffre pour la dégustation, c'est deux...
Trois, ça doit rester très irrégulier. Parce que de toutes les manières, je ne suis pas fan de la griserie retour de bâton.
Ceci dit, la page du jour explique mieux les choses.
http://www.lapagedujour.net/juin2016/dixjuin2016.htm
Il y a un petit côté, allez, on se laisse aller à deux jours de son anniversaire parce que de toutes les manières le reste de juin va être un peu studieux et que ça va pas être vraiment possible de déguster la bière quotidienne.
Ce qui est bon pour le foie l'est moins pour les douleurs. Je confirme l'effet anesthésiant de trois bières, hein. Ou même d'une seule.
Mais je...
Quoi ?
Si j'ai l'impression d'être alcoolique ?
Ah... ben oui. Une bière par jour, c'est déjà ça. Alors, deux, tu penses.
Je suis très perturbé par une quantité qui serait tout à fait normale et sans conséquences pour nombre de personnes à cause d'un historique familial assez méchant...
Et d'ailleurs, ce n'est pas tant l'alcool qui m'intéresse que la dégustation... Et je dirais presque que ma partie préférée, c'est ce qui vient après l'odeur (quand j'arrive à la sentir) et le goût : c'est l'après goût, la longueur en bouche.
Une caractéristique, la longueur en bouche, que je ne connais pour l'instant que dans l'amertume des bières ou le whisky.
S'il fallait choisir un chemin non artistique, la zythologie serait certainement quelque chose qui m'intéresserait.
La route est longue sur la gestion de la douleur.
J'y arrive mieux. C'est sûr, parce que je fais un peu ce que je veux ces derniers temps, que j'applique la méthode du "Carpe Diem" et que j'ai, effectivement, un palais exigeant en matière d'alcool...
Si exigeant que je ne peux plus consommer les bières dans les bars classiques si elles ne proposent que des demi de base...
"Carpe Diem". Consommons moins, mais mieux.
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