Je pose les choses...
Si tu poses les choses, tu sais.
Je veux faire Embrassez-Moi, l'intergroupe (mais là, je ne décide pas), les muets ont des oreilles et l'atelier théâtre de Frédéric Constant.
Je suis prêt à tout projet où les comédiens ne dépasseraient pas la dizaine (et idéalement pas plus de 6, c'est vraiment bien, t'as le temps de profiter de tout le monde).
Reste les spectacles de fin d'année.
Est-ce que je reste le mercredi, sachant que je vais en louper plusieurs puisque l'atelier théâtre de Frédéric Constant a lieu un à deux mercredis par mois ?
Ou est-ce que je vais le jeudi, pour ne pas pénaliser les cours, en me contenant d'être la en soutien à la prof pour les mercredis où je serais là ?
Oui, ça impliquerait des soirées assez chargées.
Théâtre presque tous les soirs, sauf le vendredi après le yoga, où j'aurais jeu de rôle.
Est-ce qu'il faut aussi que je sacrifie 6 week-end à un atelier d'écriture ?
Le plus, c'est que c'est du théâtre.
Le moins, c'est que je ne suis pas un écrivain du nombre et que ça fait beaucoup de week-end de pris.
Je me dis, éventuellement, que je pourrais raccrocher le wagon après la rencontre des écrivains et des acteurs, prévue sur un week-end.
Je me dis aussi qu'il faut savoir s'écouter.
Très vite, comme ça, je me dis : eh merde pour le jeu de rôle cette année, tant pis si ça n'est pas dans les horaires que je préfère, au moins je peux me laisser la chance d'essayer de voir si le théâtre est une passion en embrassant totalement le sujet.
Un sujet qui aide à supporter le relatif enfer de la douleur.
On en revient toujours là.
Aide à supporter.
Parfois, j'en suis à presque hurler ou pousser un cri.
Un cri que je compte faire force vive pour le sublimer dans l'acte théâtral.
J'ai envie de faire rire et aussi de faire pleurer. Les deux. Les deux en même temps dans un spectacle.
Dans plusieurs spectacles, c'est ça que je veux.
L'affaire est entendue. Etre présent. Le plus possible.
http://www.lapagedujour.net/septembre2014/vingtcinqseptembre2014.htm
Si tu poses les choses, tu sais.
Je veux faire Embrassez-Moi, l'intergroupe (mais là, je ne décide pas), les muets ont des oreilles et l'atelier théâtre de Frédéric Constant.
Je suis prêt à tout projet où les comédiens ne dépasseraient pas la dizaine (et idéalement pas plus de 6, c'est vraiment bien, t'as le temps de profiter de tout le monde).
Reste les spectacles de fin d'année.
Est-ce que je reste le mercredi, sachant que je vais en louper plusieurs puisque l'atelier théâtre de Frédéric Constant a lieu un à deux mercredis par mois ?
Ou est-ce que je vais le jeudi, pour ne pas pénaliser les cours, en me contenant d'être la en soutien à la prof pour les mercredis où je serais là ?
Oui, ça impliquerait des soirées assez chargées.
Théâtre presque tous les soirs, sauf le vendredi après le yoga, où j'aurais jeu de rôle.
Est-ce qu'il faut aussi que je sacrifie 6 week-end à un atelier d'écriture ?
Le plus, c'est que c'est du théâtre.
Le moins, c'est que je ne suis pas un écrivain du nombre et que ça fait beaucoup de week-end de pris.
Je me dis, éventuellement, que je pourrais raccrocher le wagon après la rencontre des écrivains et des acteurs, prévue sur un week-end.
Je me dis aussi qu'il faut savoir s'écouter.
Très vite, comme ça, je me dis : eh merde pour le jeu de rôle cette année, tant pis si ça n'est pas dans les horaires que je préfère, au moins je peux me laisser la chance d'essayer de voir si le théâtre est une passion en embrassant totalement le sujet.
Un sujet qui aide à supporter le relatif enfer de la douleur.
On en revient toujours là.
Aide à supporter.
Parfois, j'en suis à presque hurler ou pousser un cri.
Un cri que je compte faire force vive pour le sublimer dans l'acte théâtral.
J'ai envie de faire rire et aussi de faire pleurer. Les deux. Les deux en même temps dans un spectacle.
Dans plusieurs spectacles, c'est ça que je veux.
L'affaire est entendue. Etre présent. Le plus possible.
http://www.lapagedujour.net/septembre2014/vingtcinqseptembre2014.htm
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire