Miaou.

Un arrêt de travail perdu.
Un arrêt de prise de médocs décidé.
Un arrêt de la douleur pas en marche.
Une répétition de théâtre en gérant la douleur.
Une après-midi de travail sur le fil du rasoir.
Une sieste trop longue.
Une page du jour à mon chat :
http://www.lapagedujour.net/mars2013/douzemars2013.htm

Miaou.
Mais.
Un rendez-vous obtenu relativement en urgences chez le neurologue, quand on songe que les délais sont facilement de trois à quatre mois ici : pour le 28 mars, 17 heures.
Je vais forcément devoir prendre quelques jours de congés, ou à défaut avoir à être arrêté un peu.
Oui.
Un peu.
Y a un moment où faut trouver un moyen de faire taire la douleur.
Peut-être le repos complet.
J'ai vraiment, vraiment, vraiment mal.
Ou du moins disons qu'en permanence une douleur radiante qui remonte du cou à la tête, j'avais pas besoin en plus du bras.
Pas besoin du tout.