http://www.lapagedujour.net/novembre2012/quatorzenovembre2012.htm
J'ai rêvé de toi.
Tellement, tellement, tu sais.
J'ai rêvé d'une ville ou d'un village et de ces ombres qui parcourent les ruelles grises et cendreuses.
Dans la brume qui habite le village, je suis le phare dans ce qui va être la nuit.
Je peux poser mes pieds au-dessus du sol, je peux flotter, je peux voler.
Je peux parler à la foule, aux masses de gens un peu hagards et leur donner une direction.
Et toi, tu es là, tout le temps, présent.
Mais je ne te vois jamais.
Jamais.
Tu es le regard dans mon miroir.
Tu es l'âme que j'ai oubliée quelque part sur le bord du chemin en arrivant au village.
Tu pourrais être la lumière qui dissipe les ombres ou le parfum des fleurs par un matin de printemps.
J'ai rêvé de toi, tu sais.
Tellement, tellement...
J'ai rêvé de toi.
Tellement, tellement, tu sais.
J'ai rêvé d'une ville ou d'un village et de ces ombres qui parcourent les ruelles grises et cendreuses.
Dans la brume qui habite le village, je suis le phare dans ce qui va être la nuit.
Je peux poser mes pieds au-dessus du sol, je peux flotter, je peux voler.
Je peux parler à la foule, aux masses de gens un peu hagards et leur donner une direction.
Et toi, tu es là, tout le temps, présent.
Mais je ne te vois jamais.
Jamais.
Tu es le regard dans mon miroir.
Tu es l'âme que j'ai oubliée quelque part sur le bord du chemin en arrivant au village.
Tu pourrais être la lumière qui dissipe les ombres ou le parfum des fleurs par un matin de printemps.
J'ai rêvé de toi, tu sais.
Tellement, tellement...
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