Le serpent

Pas de copine. (Celle qui aurait pu l'être ne peut pas l'être, juste pas, ça m'a visiblement beaucoup miné cette année...)
Trop seul.
Vrille psychique.
Malade.
Poum.
Le serpent.

Ou ce qui y ressemble. Je travaille pour qu'il fasse son job ailleurs qu'à l'œil, mais ce n'est pas gagné.
On verra.
Le serpent putatif (l'herpès oculaire) me pose là : je verrai pas mon fils deux semaines, je n'irai pas en Bretagne, je serai deux semaines tout seul.
Hum.

La page du jour.

Le blog du fils.

Et ne pas se plaindre. Shit happens.

Je trouverai quoi faire de la semaine qui vient même si je ne peux pas lire, jouer autant qu'avant ou...
Ah serpent...

Il va falloir que je médite sur toi.

Les trucs bien de la journée.
Trois heures (les seules sur trois semaines) pas tout seul pour deviser avec l'amie qui aurait pu être la copine.
Ne pas sombrer en apprenant le serpent
Le coup de fil avec le fils.
L'échange avec ma sœur au sujet de cette excellente vidéo de Blast.