La méthode, c'est de verrouiller les trucs sur les trucs bien.
Les trucs bien c'est d'avoir décider de m'occuper de mon figuier et de l'avoir fait. Pouf. Branches coupées, décharge ensuite en début d'après-midi avec les merdes qui attendaient d'être jetées depuis des mois.
C'est d'avoir discuté avec qui de droit sur ce qu'elle veut. Bon, la tendresse, ok. C'est magique la tendresse. C'est pas tout, ça manque pour le cul. Mais c'est pas comme si le cul ailleurs c'était facilement trouvable vu mon profil.
C'est l'épicier / primeur de Cap Nord pour l'achat d'épices en pagaille et de quelques piments du Maghreb pour faire une pâte de piment.
C'est ce joli Arte sur le Gombo.
C'est l'anti-gaspi à Carrefour et avoir fait une heure la cuisine des légumes (et y en a du fenouil, ça race dedans) en rentrant ce soir.
C'est être content parce que le fils a fini la collection Saint Valentin de Wewardet qu'il n'a plus à régler son appareil tous les jours.
C'est maintenant en essayant de profiter de l'instant présent même si le week-end s'annonce bien solitaire.
C'est m'être débarrassé du jeu vidéo qui a été bien pour m'échapper mais plus de mille heures à s'échapper, merci, je préfère passer à des possibilités d'art, plus de jdr, un vrai jeu vidéo sur le pc ou euh, ah, ah, ah, ah, du cul, si j'arrive à pêcho du cul, hu hu hu.
La méthode c'est surtout de regarder sa journée avec des trucs positifs. C'est la méthode que je vais employer maintenant.
Merci à celles avec qui j'ai communiqué aujourd'hui (ma sœur, ma mère, celle qui désire la tendresse, la mère de mon fils et mon fils, oui, j'aurais dû dire ceux, mais eh, je fais ce que je veux).
La page du jour.
Le blog du fils.
