Emballé par une idée de quelqu'un hier sur la pièce qu'on va monter, j'ai travaillé pour en faire quelque chose qui donne du sens.
Mais j''ai été confronté à une réalité : si ça n'emballe pas tout le monde, pas la peine d'y passer des heures.
Et pourtant...
Je reste persuadé (comme ma femme) que mon intégration de l'idée proposée hier est la mieux sur le plan narratif, parce qu'elle ne fait que modifier un peu la donne du twist final proposé, pour donner une correspondance de chiffre qui se tient et sans rapporter aucun élément extérieur. On reste sur 8 personnages, 8. Ca permet aussi de créer plus de détails en amont pour révéler un pan de la vérité et donner l'occasion de créer une pièce que tu aurais envie de voir deux fois.
En gros, si t'as qu'un coupable à revisiter, tu le fais pas forcément.
S'il y en a plusieurs, hu. Oui, ça devient amusant.
J'aurais bien aimé appeler cette pièce 8 ou l'octogone, d'ailleurs.
D'autres mots sont venus pour le titre. De tous ceux cités, je ne retiens qu'Halali et "En attendant que la Lune (remplacez éventuellement par un mot approprié) vienne".
La Meute, c'est pas con aussi. Le Change, c'est pas mal. Mais ch'uis pas sûr que ça soit particulièrement vendeur.
Et "Les Cavaliers" si mon twist sur l'idée finale était retenu.
Le Titre, c'est important pitin. Peut-être que tant qu'on en aura pas un, je resterai avec une petite angoisse.
Tout comme j'angoisse un peu sur le fait qu'on écrive pas ces 15 derniers jours de décembre, j'aurais aimé que quelqu'un le fasse (bon, en temps et en capacité, c'est sûr que sur les neuf personnes impliquées, y a peu de personnes qui peuvent) quitte à ensuite corriger tout ce qu'il faudrait corriger. Je me sentirais plus en sécurité à bosser sur une base approfondie de dialogues et de situations, quitte à ce qu'il y ait beaucoup à réécrire...
Tant pis.
Je bosserai sur autre chose pour ne pas tourner à fond sur ce projet (quand un truc est lancé, j'ai besoin de vite voir se décanter des trucs). Ou je m'amuserai à faire un arbre plus détaillé pour réfléchir à des questions auxquelles on a pas répondu. C'est vrai que ça serait intéressant une pièce avec des gros détails précis de chaque scène où toutes les informations et actions essentielles sont connues des comédiens mais où les dialogues sont secondaires et faits par eux au moment de rentrer sur scène. Tu n'as pas un texte alors à apprendre, mais une trame.
http://www.lapagedujour.net/decembre2014/seizedecembre2014.htm
J'ai aussi lu la pièce d'un copain et corrigé ses fautes.
Mais du coup, je paye ces trois jours.
Rhume, boutons...
Gni.
Mais j''ai été confronté à une réalité : si ça n'emballe pas tout le monde, pas la peine d'y passer des heures.
Et pourtant...
Je reste persuadé (comme ma femme) que mon intégration de l'idée proposée hier est la mieux sur le plan narratif, parce qu'elle ne fait que modifier un peu la donne du twist final proposé, pour donner une correspondance de chiffre qui se tient et sans rapporter aucun élément extérieur. On reste sur 8 personnages, 8. Ca permet aussi de créer plus de détails en amont pour révéler un pan de la vérité et donner l'occasion de créer une pièce que tu aurais envie de voir deux fois.
En gros, si t'as qu'un coupable à revisiter, tu le fais pas forcément.
S'il y en a plusieurs, hu. Oui, ça devient amusant.
J'aurais bien aimé appeler cette pièce 8 ou l'octogone, d'ailleurs.
D'autres mots sont venus pour le titre. De tous ceux cités, je ne retiens qu'Halali et "En attendant que la Lune (remplacez éventuellement par un mot approprié) vienne".
La Meute, c'est pas con aussi. Le Change, c'est pas mal. Mais ch'uis pas sûr que ça soit particulièrement vendeur.
Et "Les Cavaliers" si mon twist sur l'idée finale était retenu.
Le Titre, c'est important pitin. Peut-être que tant qu'on en aura pas un, je resterai avec une petite angoisse.
Tout comme j'angoisse un peu sur le fait qu'on écrive pas ces 15 derniers jours de décembre, j'aurais aimé que quelqu'un le fasse (bon, en temps et en capacité, c'est sûr que sur les neuf personnes impliquées, y a peu de personnes qui peuvent) quitte à ensuite corriger tout ce qu'il faudrait corriger. Je me sentirais plus en sécurité à bosser sur une base approfondie de dialogues et de situations, quitte à ce qu'il y ait beaucoup à réécrire...
Tant pis.
Je bosserai sur autre chose pour ne pas tourner à fond sur ce projet (quand un truc est lancé, j'ai besoin de vite voir se décanter des trucs). Ou je m'amuserai à faire un arbre plus détaillé pour réfléchir à des questions auxquelles on a pas répondu. C'est vrai que ça serait intéressant une pièce avec des gros détails précis de chaque scène où toutes les informations et actions essentielles sont connues des comédiens mais où les dialogues sont secondaires et faits par eux au moment de rentrer sur scène. Tu n'as pas un texte alors à apprendre, mais une trame.
http://www.lapagedujour.net/decembre2014/seizedecembre2014.htm
J'ai aussi lu la pièce d'un copain et corrigé ses fautes.
Mais du coup, je paye ces trois jours.
Rhume, boutons...
Gni.
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