Je suis un peu une loque humaine.
Grosse fatigue et pas récupéré encore de cette carence et de la fatigue du week-end.
La page du jour est là :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/dixmai2013.htm
Le bilan de la journée est plutôt comme cela :
- Réciter son texte des sorcières en baladant sur un chemin avec la soeur de Clarisse et son fils.
- Faire quelques courses le matin dans un autre village côtier avant d'échouer à pied à Terre de Sel bien trop peuplé pour moi.
- Petite balade sur les remparts de Guérande, bien trop courte, en fin d'après-midi.
- Repas dans une crêperie qui n'est pas mal, qui a un patron bien sympa, mais les crêpes ne sont pour moi pas assez cuites. Le patron a cela dit eu le mérite de me faire réfléchir à la Nouvelle-Calédonie et à mon désir d'y retourner.
Un autre compliment sur ma voix, par mail. Et une tentative d'auto-hypnose cette après-midi en marchant sur le chemin. Si un timbre particulier captive, c'est qu'il peut être utilisé pour soigner...
Chanter, peut-être, un jour.
Trouver ses mantras.
Vibrer en écho avec tout ce qui constitue nos poussières d'étoiles.
Fatigué mais de plus en plus perturbé par cette pensée de Confucius remarqué dans un bar.
Nous n'avons que deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on en a qu'une.
C'est commencer la deuxième qui se fait poindre salement.
Oui, ma brave dame.
La deuxième, débarrassée de tout ce qui emmerde de trop et enveloppée de tout ce qui donne la passion ou l'énergie.
Mazette.
Est-ce possible ?
Grosse fatigue et pas récupéré encore de cette carence et de la fatigue du week-end.
La page du jour est là :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/dixmai2013.htm
Le bilan de la journée est plutôt comme cela :
- Réciter son texte des sorcières en baladant sur un chemin avec la soeur de Clarisse et son fils.
- Faire quelques courses le matin dans un autre village côtier avant d'échouer à pied à Terre de Sel bien trop peuplé pour moi.
- Petite balade sur les remparts de Guérande, bien trop courte, en fin d'après-midi.
- Repas dans une crêperie qui n'est pas mal, qui a un patron bien sympa, mais les crêpes ne sont pour moi pas assez cuites. Le patron a cela dit eu le mérite de me faire réfléchir à la Nouvelle-Calédonie et à mon désir d'y retourner.
Un autre compliment sur ma voix, par mail. Et une tentative d'auto-hypnose cette après-midi en marchant sur le chemin. Si un timbre particulier captive, c'est qu'il peut être utilisé pour soigner...
Chanter, peut-être, un jour.
Trouver ses mantras.
Vibrer en écho avec tout ce qui constitue nos poussières d'étoiles.
Fatigué mais de plus en plus perturbé par cette pensée de Confucius remarqué dans un bar.
Nous n'avons que deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on en a qu'une.
C'est commencer la deuxième qui se fait poindre salement.
Oui, ma brave dame.
La deuxième, débarrassée de tout ce qui emmerde de trop et enveloppée de tout ce qui donne la passion ou l'énergie.
Mazette.
Est-ce possible ?
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