http://www.lapagedujour.net/avril2013/vingtseptavril2013.htm
Tout est dans le teasing.
Bon, je n'ai pourtant pas fait le fou, je me suis reposé toute la semaine mais grande est l'introspection en moi et le constat des faits suivants :
Grande fatigue nerveuse.
Angoisse de reprendre le travail, peur de ne pas être capable nerveusement de supporter l'immense flemme de certains gamins ou leur besoin de faire faire leur devoir au-dessus d'être aidés à le faire.
Stress de la pièce de théâtre qui vient, mais ça c'est du bon stress. Sauf le stress lié à ma peur de ne pas être en forme (bien que pour tenir deux heures sur scène, je me dépasserai quitte à être vidé ensuite).
Frustration de ne pas pouvoir faire le job de débarquer les affaires de théâtre (mais je ne vais rien risquer avant d'avoir commencé du kiné).
Fatigue physique qui va de pair avec la nerveuse.
Douleur consécutive, je pense aux vibrations des caissons de basse hier. Au moins, après l'ostéopathe, j'ai moins mal au bras, mais le cou, hein, le cou, lui, il est pas fait pour supporter plein de trucs apparemment.
On me dira : tant que tu peux écrire (là, non, fatigue trop grande), jouer (oui, mais pas du compliqué dans les scénarios et je pense préférer être joueur en cette période), jouer au théâtre, pas de blême.
Si, un.
Lutter contre la parano hypocondriaque qui pourrait faire flipper à force d'être au chou tout le temps.
Conclusion.
Faut que je commence soit du yoga, soit de la médiation et que je m'astreigne à reprendre doucement de la gym.
Mens sana in corpore sano.
Tout est dans le teasing.
Bon, je n'ai pourtant pas fait le fou, je me suis reposé toute la semaine mais grande est l'introspection en moi et le constat des faits suivants :
Grande fatigue nerveuse.
Angoisse de reprendre le travail, peur de ne pas être capable nerveusement de supporter l'immense flemme de certains gamins ou leur besoin de faire faire leur devoir au-dessus d'être aidés à le faire.
Stress de la pièce de théâtre qui vient, mais ça c'est du bon stress. Sauf le stress lié à ma peur de ne pas être en forme (bien que pour tenir deux heures sur scène, je me dépasserai quitte à être vidé ensuite).
Frustration de ne pas pouvoir faire le job de débarquer les affaires de théâtre (mais je ne vais rien risquer avant d'avoir commencé du kiné).
Fatigue physique qui va de pair avec la nerveuse.
Douleur consécutive, je pense aux vibrations des caissons de basse hier. Au moins, après l'ostéopathe, j'ai moins mal au bras, mais le cou, hein, le cou, lui, il est pas fait pour supporter plein de trucs apparemment.
On me dira : tant que tu peux écrire (là, non, fatigue trop grande), jouer (oui, mais pas du compliqué dans les scénarios et je pense préférer être joueur en cette période), jouer au théâtre, pas de blême.
Si, un.
Lutter contre la parano hypocondriaque qui pourrait faire flipper à force d'être au chou tout le temps.
Conclusion.
Faut que je commence soit du yoga, soit de la médiation et que je m'astreigne à reprendre doucement de la gym.
Mens sana in corpore sano.
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