Le dedans du moi, avec pas mal de causeries à l'esprit d'aventure et le rappel des pages du jour qu'on trouve sur http://www.lapagedujour.net/pagedujour.htm
PS, jdr...
Oui, je sais des années que je réfléchis et que je dis que c'est arrêté ici, ou là, mais là, ayé. J'ai arrêté ma fiche universelle à 12 attributs (même pas compétences) qui pourraient avoir éventuellement des spécialités de compétences.
Corps --> Force, Vigueur, Combat
Dextérité --> Agilité, Réaction, Tir
Mental --> Intellect, Perception, Tech.
Spirituel --> Aura, Esprit, Pouvoir
Je ne vais définitivement plus fonctionner qu'avec ça sur mes jeux fétiches.
Et oui.
Presque la fin de l'année, déjà, esprit de l'Aventure.
Mais bon.
Y a eu des tas de bons trucs. Faut pas croire.
C'est juste que j'ai du mal à gérer des trucs, dont en particulier certains aspects de mes handicaps.
Rien que l'Art ne puisse sauver plus ou moins en partie, cela dit.
J'ai une grosse aventure intérieure qui m'attend.
Mais elle commence grâce au fils. C'est déjà pas si mal. J'espère juste qu'elle se prolongera en menant à bien certains projets théâtre ou jdr.
Un : un difficile moment à rédiger et relire un bilan de mes douleurs que j'ai fait transmettre ce soir à mon docteur pour un dossier MDPH.
Deux : le blog du fils --> https://ebatbuok.blogspot.fr/2017/12/debout.html
Trois : allez, en dépit des haters sur les forums, je retourne voir Star Wars 8 pour me changer les idées tout comme je me suis changé les idées hier soir en regardant Zootopie et Warcraft sur Canal + (et j'ai adoré les deux)
Quatre : la page du jour --> http://www.lapagedujour.net/decembre2017/vingtneufdecembre2017.htm
Cinq : Ai pu commencé un cadeau vieux d'un an, une bédé sur l'histoire de la bière, et c'est excellent.
Six : le blog du chat --> http://horus-le-chat.blogspot.fr/2017/12/speciale-kilda-et-nous.html
Pas beaucoup de sommeil cette nuit, vu l'heure à laquelle je me couche et l'heure à laquelle le fils se réveille, mais du coup un souvenir vif et puissant d'une sorte d'hôtel particulier ou de maison de joie, perdue dans une ville de campagne, cela avait l'air d'être un lieu important, un refuge nécessaire, je ne me souviens pas de la personne qui était sympa avec moi, mais je pense que les êtres imaginaires peuvent compter beaucoup à certains moments...
Je continue à maintenir que je ne vois pas de différence entre ce monde et l'autre monde au niveau de ce qu'on peut ressentir. L'autre monde, celui de l'imaginaire (ou des rêves ou de l'inconscient collectif ou de l'invisible) ne me semble pas moins vrai et il a la vertu de la qualité que je préfère au monde : la magie. J'aimerais vraiment m'en souvenir plus.
Je ne fais pas l'effort, je devrais.
C'est quand même dans ce monde qu'on trouve toutes les forces pour affronter ce monde ci...
Je dois respirer.
Y a des choses qui m'agacent et qui corrodent la vie.
Mais je n'y peux rien. J'ai beaucoup à gérer avec moi-même déjà. Cela dit, j'ai passé une excellente journée avec mon fils en dépit de sa nuit très compliquée...
Et un peu de joie.
J'ai goûté du caviar ce soir, après avoir vu un reportage dessus ce matin. C'est un caviar de très bonne tenue, français, qui a reçu la meilleure note dans le reportage en question.
Et il est vrai que c'est pas l'horreur de ce qui était dans mes souvenirs.
Bon, ça ne mérite pas le prix qu'on le paye, mais je comprends qu'on puisse être curieux avec de gros moyens.
Plus de sous, c'est plus de possibilités de découvrir des goûts, pour sûr...
Le fils et mon moi du passé m'ont donné la banane aujourd'hui, sinon :)
Et trois mots : Jdr, Bière et Théâtre.
Je mets pas fils, y a déjà son blog.
Les trois mots, c'est vraiment ce que je pense que je lâcherai jamais. Jamais, jamais.
La journée la plus courte est passée.
Les jours rallongent.
Le moral aussi, normalement.
Mais j'aurais bien aimé avoir de la neige.
On aura surtout de la grisaille et de la pluie.
Sinon, je me tape une petite semaine d'antibiotiques, en cas, pour latter ce qui reste de vilaines bactéries post état grippal.
Bon. Rien de méchant.
Et puis bon.
Y a mon totem qui me dit : tout va bien, santé et renouveau.
Quoi ?
Tu ne crois pas que je parle à mon totem, esprit de l'aventure ?
Eh eh eh.
Bon, le geek que je suis a fini par voir le dernier Star Wars, et en VO, hein, parce que la VF, caca prout.
Le geek que je suis est content.
Le principal reproche que je pourrais faire est que le scénario est un peu léger et qu'à l'aune de ce qu'on peut faire en série télé, c'est frustrant. C'est frustrant d'avoir une histoire finalement pas si étendue sur trois épisodes en 4 ans.
C'est un univers qui mérite la série télé qui est prévue d'ici quelque temps.
Mais enfin.
Pas de spoiler, donc et adieu Leïa qui à mon avis aurait pu quand même avoir un sacré rôle dans le troisième opus.
Et quoi ?
Si, je dois rédiger ma dernière partie de cette après-midi pour ne pas oublier de détails.
Mais je sais que je reprends in media res, la prochaine fois, avec un des personnages qui a une flèche plantée dans le cou.
J'ai une grosse tendresse pour warhammer en medfan, même si mon style de jeu est plus héroïque que les règles.
Beaucoup plus héroïque.
Et plus cul, qu'est-ce que j'ai mis comme cul. Mais comme l'objet de la campagne est d'abord lié à un pitin de gode qui est en fait le sexe coupé d'un Dieu de la Loi.
Hein.
Je dois avouer que ce qui mine le début de la semaine, c'est d'avoir vraiment été super mal, mais à un point que j'avais peu atteint (dans mes souvenirs).
Et que la fin de semaine, c'est plus d'avoir sans doute (alors bon, y a d'autres pistes possibles, mais je suis l'apparent coupable désigné par la théorie du rasoir d'Ockham) d'avoir vérolé ma femme et mon fils avec une trachéite bien pénible.
Y a la barre au cou et dans le dos qui en a pris une charge supplémentaire et comme j'ai pas vu la kiné depuis des plombes, gruiii.
Mais passons.
Blam, le fils a pris ma place chez le doqueteur (parce que quand même, je voulais savoir si ce que j'avais était viral ou bactérien, et conclusion, je ne sais pas) pour checker sa température et sa toux.
Chance pour lui, il est sous antibios. Petit souci, ça prend quand même les poumons et même si la température a pu retomber, eh ben, à l'heure très tardive où j'écris (après avoir essayé comme sa mère ou sa grand-mère avant que sa grand-mère s'y remette), y dort pas le bougre, la respiration qui siffle doit le gêner ou alors c'est son autre dent qui pousse;
Bon, à côté de ça, il pète le feu en dépit des petits yeux et n'a pas perdu l'appétit, la seule inquiétude sera le sommeil des proches :)
J'ai vu, en prenant le max de précautions, Le Marchand de Venise sinon ce soir, et c'est bien, un beau pestak, auquel certains pourront trouver sans doute à redire sur des raccourcis ou des partis-pris, certains dont je ne fais pas partie.
Bel enthousiasme de troupe avec pour moi un ou deux rôles vraiment plus forts, notamment celui du servant du juif - Lancelot - qui est magnifié dans cette adaptation...
Tu sais quoi, esprit de l'aventure ?
Je continue à te passer les effets conjugués de trois trucs samedis et dimanches, sans compter un niveau psychologique ruiné qui a laminé le tout.
Mais je dois avouer qu'après une nuit très très très vive en images mentales, c'est marrant de se dire qu'un jeu de l'esprit a fait chercher des totems.
Si je devais avoir de nouveaux totems, eh ben, blam, y en aurait un de tous les continents, un second sans doute d"Amérique du sud ou centrale et le dernier d'Afrique ou d'Asie.
J'ai pas vu l'ours.
Mais je vais pas te dire les trois animaux que j'ai vus.
Ce sont des clés uniquement pour moi. Un pour celui qui observe / écrit, un pour celui qui joue / agit et un pour celui qui résiste.
C'est toujours trois animaux cool à tatouer si jamais je passe le cap un jour.
Mais donner un nom d'animal à certaines de ces ressources fut au moins le point positif de ces quelques jours très engageants sur le plan psychique et physique.
Celui qui résiste commence à pointer le bout de son nez.
Et ch'uis bien content.
Il y a quelque chose de la quête shamanique cette semaine. C'est comme ça que j'ai tenu le coup.
Je voyais pas d'intérêt à péter mon record de jours sans manger, et j'ai un peu mangé à 5 heures, un peu, sans avoir faim du tout...
Ceci dit, je ne crois pas qu'il y ait un seul orifice de mon corps qui échappe à des réactions organiques étranges en ce moment.
C'est pour ça que j'ai mangé peu, en attendant d'éventuelles surprises...
Bon, moi, j'ai de la chance dans la crève que je me paye, je fais pas tellement de fièvre, ça tousse, ça coule, ça racle et ça fait mal, mais la température qui monte, c'est pas mon truc. Courage au fiston (qui a réussi à avoir de l'appétit même au goûter).
Et une dédicace aux fans de Johnny. J'ai eu une petite larme en regardant le reportage de la 5 ce soir sur cette journée.
Et sinon, eh bien, une après-midi éclairante avec l'ergothérapeute, mais la nécessité de souffler un peu, du coup, après avoir réalisé à quel point, en fait, je suis handicapé.
J'ai que deux voies de sortie le théâtre et le jdr pour m'évader de la douleur.
Mais vraiment.
L'alcool aussi, mais c'est moins intéressant pour le maintien d'un état sur toute une soirée.
Et non, la famille n'est pas une voie de sortie. Mon fils tout incroyable qu'il soit pour me clamer, sourire ou rire ne me sort pas du corps de l'handicapé, il vit avec ce quotidien là et j'ai vraiment besoin de m'échapper de ça. Vraiment.
Peut-être trop souvent.
Mais en même temps, c'est ce que je suis.
Ou ne suis pas.
C'est difficile de rajouter des choses.
Si dans le cadre du handicap, j'ai exploré mon temps de marche en ville ce matin. On peut dire que ça va. C'est juste que marcher sur du béton tape le haut du dos là où marcher dans la nature reste tranquille...
Je ne suis pas un fan, ni un connaisseur et c'est sur wikipedia aujourd'hui que j'ai appris qu'il avait une fille avec Nathalie Baye ou deux filles adoptives, voire les titres de ces chansons.
Mais j'ai eu une larme ce matin par empathie pour les fans et le symbole fabriqué. http://www.lapagedujour.net/decembre2017/septdecembre2017.htm
J'ai du mal avec les dimanches après-midis sans jdr ou sans jeu de plateau.
Le fils permet de passer quand même ce cap. Et c'est au moins ça le bonus.
Je suis pas un gen normal dans mes tares et mes travers mais le fils permet encore de passer le cap.
Je regarde vachement de séries zombies en ce moment (walking dead, fear the walking dead et Z Nation) et je me languis sans doute de moins être un zombie de la création.
Enfin, très peu connecté puisque j'ai battu mon record : zéro vues en 7 heures que la vidéo est postée sur ternet. Je crois que les sommets sont atteints :)
Sinon ?
Euh, je vais pas te raconter que j'ai froid et que j'ai mal au dos, hein, esprit de l'aventure...
J'ai un peu autre chose à faire, pas vrai ?
Comme vérifier du coup qu'il n'y a pas de caméra connectée dans une partie de l'anatomie du nain...
Bon ensuite le père a des crevasses aux pieds, aux mains, s'est fait mal au pied mais tant pis, on s'en fout, et il a pas eu peur d'aller dans le froid et même de voir un peu de neige avec le fils et le chien et puis il a pu goûter la première binouze du colis saveur bière pour Noyel.
La smoky oak ale de la brasserie Ninkasi le fait si on aime le genre un peu fumé, finish whisky style.
Épisode 4 de la dernière saison de walking dead, check, pour la dernière soirée avant la reprise du boulot par ma femme et mon job de pôpa à domicile, du coup.
Quelques flocons de neige ce soir, check.
Y a surtout ma femme et mon fils qui ont sauvé ma journée.
Ma femme pour son excellente idée d'aller voir la cause de mon problème technique d'ordinateur en ligne et je me serais épargné plusieurs heures de galère de plus si je l'avais écoutée le matin aussi.
Mon fils pour m'avoir permis de ne pas m'énerver à cause du problème technique.
Y a un peu des hauts et des bas du moral, mais le haut est toujours là avec le fils.
Belle balade ce matin jusqu'à l'étang de St Germain, mais il s'est endormi en arrivant :)
Et c'est tout.
Si, vraiment.
Ah oui, belle revisite d'une sorte de couscous par ma femme ce soir.
Et une dédicace à une plante qui nous fait hièche tous les deux, qu'on sait plus qui nous l'a offert, pitin, et qu'on sait pas où la foutre en hiver.
Je me sens un peu comme cette plante parfois.
Je vais lui trouver une place. Il y a quelque chose de parfois magique dans la connexion qu'on peut établir sur le moment avec un représentant du monde végétal.
J'ai eu pitié de la plante quand ma femme a dit qu'elle ne l'aimait pas. Et je me suis dit : sauvons-là.
Bon, j'ai testé deux jours sans binouze quotidienne et j'ai observé les effets.
Je crois que la bière (et je parle uniquement de la bière) a un effet sur les douleurs du cou et le transit intestinal.
Point. Et puis, j'ai des bières dont la limite est passée de plus d'un an qu'il faut quand même un jour consommer. Zinnebir,de la brasserie de la Senne fait son job un an après. Mais je gage que c'est pas optimal.
Je dis je crois parce que le froid aide pas non plus pour comparer.
On repart sur 3 jours sans pour bien se faire une raison avant le calendrier de l'avant Saveur Bières (qu'il est mieux de tester avant que j'ai des tas de soirées où ça sera pas possible la binouze du fait d'un fort agenda théâtre nocturne)
La page du fils : https://ebatbuok.blogspot.fr/2017/11/les-nuits-courtes.html
La page du père : http://www.lapagedujour.net/novembre2017/vingtseptnovembre2017.htm
J'ai testé deux limites aujourd'hui, celle de la mauvaise humeur qui se dissipe en face du fils et celle de la colère ou de la rage qui ne supporte plus les connards qui nous appellent deux ou trois fois par jour tous les jours depuis des mois ou qui a vraiment du mal quand un verre d'eau est demandé à un serveur, en plus d'un café, que le verre d'eau ne soit pas servi.
J'ai adoré voir les couteaux fabriqués par le chéri d'une fille de la compagnie. La forge artisanale, je trouve ça noble.
Si je trouve les moyens de gagner quelques sous l'année prochaine, c'est sûr que j'en garde un peu de côté pour une pièce personnalisée que j'aurais en tête...
Je mets son lien FB https://www.facebook.com/RDforgeron/
Il préfère avoir des commandes précises pour travailler avec l'envie des gens.
J'ai cherché des plombes c'est quoi une bonne tablette à acheter pendant le black friday.
En cas.
Parce qu'on a déjà une tablette dont je ne sais pas me servir (mais ça peut venir)
Et que j'ai un intérêt pour la chose uniquement double : des vidéos de temps en temps pour le fils, des pdfs à afficher souvent pour le père (et accessoirement ne pas se coltiner des tonnes de livres de jdr).
Voire, aussi, le fait de prendre des notes...
Mais passons.
Il faut de toutes les manières que ça puisse se mettre dans une position qui ne nique pas trop le cou.
Pitin de cou, j'ai oublié d'aller chez la kiné aujourd'hui.
Mais bon, je me plains pas, j'ai passé une bonne soirée (j'ai vu le très scénique Deadtown) et j'ai trouvé plus ou moins (pour l'instant) comment endormir Aoden.
Et je vois pas quoi rajouter.
On va dire, que si, c'est la journée sans doute où j'ai eu le plus à gérer mon fils depuis sa naissance, ce qui fait de moi un gros bâtard, mais dans ma tête j'ai fait une erreur sur la manière de faire plaisir en m'effaçant.
Et j'ai découvert de toutes les manières qu'il y a du gros connard en moi.
Plus que je ne pensais.
Ok, y a les dettes du passé qui me reviennent dans la gueule, mais bon. C'est facile de dire tout est de la faute du père (bien que... bien que...)
Au chapitre des trois choses mémorables de ma journée...
Apprendre que je conduis mal, très mal, à garder mon foutu pied sur l'embrayage.
Faire une impro avec du saisque introduit entre blanche-neige et les 7 nains.
Ma balade matinale qui reprend avec chien et fils.
Je ne peux décemment pas en mettre plus, n'est-il pas ?
On va pas plomber l'ambiance, mayrde.
Je la plomberai plus beaucoup d'ailleurs.
Et je me fends de la photo du coucher de soleil faite par ma femme.
Très grosse claque encore en sortant de chez le psy ou en me faisant confirmer des trucs par ma mère.
Mon père ce gros bâtard, en fait...
Pas sur la fin. Mais pitin, sur tout le milieu...
Tu arrives devant une grotte, il y a deux chemins.
Lequel tu prends ?
Ah ! Pas emmerdée la luciole, sauf si elle est pas con et qu'elle répond : le meilleur chemin pour moi :)
Merci à ma femme de m'avoir conseillé de dormir l'après-midi pour latter la sinusite ou de m'avoir aidé à poser les mots sur certains maux.
Merci au jdr ce soir de m'avoir permis de surfer sur d'autres horizons.
Moins merci à mon hernie et des effets secondaires, ce soir. Mais on a pas toujours tout gagnant dans une journée.
Merci à mon fils pour ses dix mois dans quelques heures. Il était invité avec moi et ma femme à fêter un anniversaire, mais il vaut mieux qu'il se repose chez lui pour finir de latter les contrecoups de la vaccination.
Je suis une luciole me dis-je, à cet instant...
Jusqu'à présent je ne pense pas que mon vol était clair ou dessinait de jolis arcs lumineux dans la nuit.
Jusqu'à présent, je ne volais qu'au présent.
Mais maintenant que je vois une direction dans la nuit plus forcément si noire, quel dessin vais-je bien pouvoir faire pour le petit observateur curieux de mon vol ?
Y a un fait, y a des risques de certaines choses quand l'enfant arrive dans un couple...
C'est en grosse partie ma nécessité d'aller voir un psy de l'anti-douleur pour gérer des trucs qui n'arrivaient pas avant notamment un lot de je m'en prends plein la gueule (pas toujours à raison du fait qu'il soit difficile pour quelqu'un de normal de comprendre quelqu'un d'anormal comme moi).
Y a des risques.
Mais en même temps, y a autre chose.
Y a l'enfant.
Y a cette idée de la révélation du pire et du meilleur avec un enfant. Mais vraiment des deux.
Et c'est une très étrange épreuve à passer.
Personnellement, je ne sais pas comment je vais faire les prochains mois à rester toute la journée seul avec mon fils (enfin sauf le midi), mais je n'angoisse pas plus que ce qu'on me prête comme niveau d'angoisse. Parce que des milliards de femmes (et parfois d'hommes) l'ont fait.
La deuxième chose emmerdante, évidemment, c'est l'handicap, qui peut servir d'excuses à certains comportements mais qui est de fait une limite précise. Ceci dit, c'est dans la contrainte qu'on crée le plus souvent le mieux pas vrai ?
J'ai fait une boulette en voulant faire bien (la serpillière jusque dans l'escalier)
On a des traces blanches dans toute la maison et les escaliers.
La faute à pas de bol et ma coordination qui m'a fait renversé beaucoup trop de bicarbonate dans l'eau pour nettoyer le sol.
J'ai eu le résultat de l'IRM, ben, oui, hein, j'ai toujours mes deux hernies, ducong...
J'ai pas vu le fils rentrer mais je l'ai vu endormi.
J'ai été sauvé d'un appareil de péage qui ne veut pas de ma carte par un monsieur qui m'a fait la monnaie à plus de 22 heures 15.
Et la décision de s'arrêter pour ma noyel sur quatre jeux en pdf uniquement en foulancement.
C'est bien, ça prend moins de place et j'ai intention d'apprendre à utiliser la tablette pour lire des pdfs...
Hum. Et un suspense. Le fils là ou pas demain ?
Une légère déception si le fils est fiévreux à cause des dents et qu'il ne peut pas prendre la voiture demain. Mais en même temps, quand je vois comment il est heureux sur ces photos, je me dis que le plus il profite de ce que lui est heureux et que sa mère est bien, le plus c'est pas grave que je sois tout seul quelques jours de plus, surtout que j'ai de l'expérience en être tout seul et des capacités pour supporter ça (aidées par les video chat quotidiens cela dit).
Sinon, hier soir j'ai vu Macbeth avec Fassbender, très bien, très graphique, toussa, mais une portée du texte un peu perdue par l'image parce que le texte de théâtre, eh ben, ça passe pas toujours en film. J'ai pas vibré autant qu'avec le château de l'araignée de Kurosawa.
J'ai vu aussi Easy Rider, qui est un gros foutage de gueule scénaristique et nettement pas un film qu'on devrait porter aux nues pour avoir transcendé quoi que ce soit. Ce serait un film lamentable s'il sortait tel quel maintenant mais comme témoignage de l'époque, c'est autre chose. Sur Allo Ciné, je me fendrais d'un 3,5... Mention spéciale à la scène avec le personnage de Nicholson où ils fument tous vraiment du cannabis.
On va résumer en disant que j'ai mal au mental et que j'ai énormément mal aussi au dos.
Mais le mal de dos, c'est que l'hernie, les muscles et les nerfs d'après les excellents résultats des radios qui ne montrent rien au niveau OS. Ouf, la bonne nouvelle de la journée;
Bon, je raconte, ça, je suis sous l'emprise de : https://www.saveur-biere.com/fr/biere-bouteille/5359-xxx-rye-quad-bourbon-barrel-aged.html
Et mon dieu je dois avouer que c'est mon genre de bière préférée.
La page du jour parle de problèmes plus matériels, mais au final, on va y arriver, j'ai une maman sympa et je sais que bon, y a pas d'autres choix.
J'espère arriver à toucher une allocation adulte handicapé parce que mes handicaps physiques (et je m'en rends compte) psychologiques me limitent vachement dans les choix.
J'espère.
Si ce n'est pas le cas, ce sera le destin.
Je ne veux pas m'embêter avec ce genre d'angoisse de toutes les manières.
Le petit ne sera pas élevé dans le palais de Crésus mais ne sera pas non plus le dernier des miséreux. http://www.lapagedujour.net/novembre2017/quatorzenovembre2017.htm
Je gage, mais je gage, qu'aucun joueur ne s'est rendu compte que la partie de cette après-midi était entièrement improvisée.
Je savais qu'ils allaient récupérer un soi-disant oeil de verre dans des épaves marines mais en dehors de ça...
Cela a fini par un ogre du chaos, un magicien en perdition, des cultistes des océans, des pirates désaxés, un groupe de répurgateurs de légende, l'oeil d'un dieu, une connexion à la trinité des dieux de la loi de la première édition de warhammer, et j'en passe.
Je préfère les forces vives d'une trame légère et d'y aller à donf, puis de prendre le temps de rédiger ensuite plutôt que des lourdes campagnes du commerce.
Merci aux joueurs pour m'avoir aidé à remonter un peu mon moral.
La page du jour est là : http://www.lapagedujour.net/novembre2017/treizenovembre2017.htm
Rôliste.
Et sans déconner, cela m'a donné la clé pour trouver comment faire la campagne de Warhammer que je suis en train de faire jouer.
Ça et sans doute avoir rattrapé mon retard sur DC legends of Tomorrow.
Je sens poindre en fin de campagne un voyage temporel pour sauver quelqu'un de lui-même...
Bon.
Pôpa a bossé un scénario pour rien, et des personnages pour rien, puisqu'il n'y avait pas tant de monde que ça à la convention de jeu le soir.
C'est pas grave, c'est gardé dans le panier.
Mais il a eu l'occasion de se marrer sur un scénario de deux heures et demi à warhammer avec une bande de bras cassés constituée d'un nain capitaine, d'un hobbit second et d'un elfe bosco...
Et d'ailleurs, s'il avait eu à créer de tels personnage avec les règles du jeu qu'il voulait tester, comment que les choses seraient allées plus vite.
Pôpa pense qu'il a une tendresse assez absolue pour son premier jeu de rôle qui, en dépit du fait qu'il ait 134 compétences, a surtout des compétences qui ne font que donner un bonus sur des actions qui peuvent se tenter dans tous les cas.
Mais passons. Peut-être que Popa aura l'occasion de rejouer une fois ou deux son bosco chargé d'un équipage de pnjs nuls branquignols et dont il a surnommé les deux principaux membres Tom et la Pédale.
Je pense que je déprime un peu toujours à cette période de l'année.
Là, j'ai mal à l’œil et j'aurais eu le moral vachement dans les chaussettes si je n'avais pas passé une heure en vidéo chat avec mon fils, répondu à quelqu'un qui m'a demandé embras(s)ez-moi qui est d'ailleurs dispo ici (http://www.lapagedujour.net/novels/embras(s)ez-moi.pdf), donné mon planning à Aurore avec qui j'ai bien intention de jouer la pièce et fait un peu de Kaizen personnel pour ranger deux ou trois trucs (houps, j'ai oublié le linge me rends-je compte à l'instant).
Quelques sms avec Jenny ont été aussi salutaires.
Yo.
Et la chaîne...
Ma femme vend une grenouillère sur le bon coin, je fais relais, normal, ET par peur de louper l'appel de la femme, je garde - chose que je ne fais jamais - le portable sur moi, pour être sûr de ne pas être gêné, je le change de poche en allant aux toilettes et pendant que j'y suis, paf, il se vautre par terre, vitre cassée... J'ai gagné 5 euros pour en perdre je sais pas combien.
Hum
La fin de mon iphone est donc proche si je ne trouve pas une réparation de vitre à pas cher.
C'est bête, alors que je déteste le téléphone portable, je trouvais au moins l'interface pour envoyer des messages à plusieurs personnes en même temps possible (alors que sur mon ex téléphone, c'était mission impossible) et l'utilité d'une alarme qu'on peut assez facilement mettre en place non négligeable. Bref, je sais quel sera mon prochain cadeau de Noyel (à condition d'avoir en plus un truc pour le protéger, parce que je fais tomber de toutes les manières trop les trucs)...
Et puis je mets un truc pour me calmer :
Et trois images :
Passer une radio, plusieurs radios, plein de radios ce matin avant d'aller chercher un dossier pour constituer une demande d'AAH, parce que c'est la mayrde, finalement pour avoir un job dans mon état.
Sortir en voyant flou de la kiné et acheter un gâteau appelé Basque qui mélange super bien chocolat au piment d'espelette et gelée de poivrons.
Réunion de préparation du projet intergroupe de cette année sur une trame un peu spéciale qui nécessitera un travail d'écriture ou de mise en forme pendant plusieurs semaines. J'ai écoulé une bouteille de vin, quelques binouzes et un moelleux au chocolat Carrefour...
Petit coup de déprime en rentrant sur comment faire tenir ceci et cela dans ma tête. Mais rien de grave. Prendre la vie comme elle vient.
Le silence de l'âme...
Quoi ?
Le silence de l'âme, je te dis, esprit de l'aventure.
C'est quoi ?
C'est tout ce qu'il ne faut pas forcément dire, c'est tout ce qu'il faut transcender plus tard.
Transcender quoi ?
Le silence de l'âme.
Hum, ça me semble relativement de la merde ton histoire quand tout de même tu n'écris pas beaucoup ces temps ci...
Ouais, la merde, c'est aussi un synonyme de silence de l'âme, dans l'absolu...
Tu veux écrire de la merde ?
Non, mais on est toujours de la merde pour quelqu'un dans l'absolu, non ?
Sauf si on écrit rien et qu'on garde les choses pour soi comme tu devrais le faire.
Et je fais quoi, là ?
Ah oui, c'est vrai...
Peut-être que le creux de la vague aurait été de se plonger dans l'eau, à Piriac, à cette après-midi par vent fort et crachin breton.
Peut-être que le creux de la vague, c'est là où j'ai fini par être...
Peut-être que... Euh, d'étranges rêves de théâtre. D'étranges rêves en effet.
Un regard posé sur mon handicap ou mes qualités.
Je dois encore réfléchir au quatrième projet que je compte faire cette année.
Je suis à peu près sûr de trois. Mais le quatrième ?
Le creux de la vague.
Mais pas d'écume. Je vais dans le courant... Je vais vers l'océan.
Pas mal de dodo avec le fils. Popa doit récupérer d'un mal de dos, de plusieurs heures de conduite,, d'une sinusite à la longueur impressionnante couplée avec une crise d'herpès.
Petite visite de l'attelier,, un fabricant artisanal de chocolat, et d'un bar à bière de Guérande pour seule activité touristique (on ne peut pas compter l'heure et demie passée au Leclerc local comme du tourisme) avant de conclure une journée siesta.
Mais les vacances servent aussi à ça, pas vrai ?
Le blog du fils : https://ebatbuok.blogspot.fr/2017/11/siesta.html
La page du jour : http://www.lapagedujour.net/novembre2017/quatrenovembre2017.htm
Et quoi ?
Une vibration... Quelque chose qui vient de plus en plus fort...
Un esprit de l'aventure de l''art...
Et pour mon compte, sinon, je suis allé aux Utopiales.
J'ai profité de deux expositions sur les albums de bande-dessinée Tribut et la Horde du Contrevent (qui venait juste de m'être conseillé en littérature). J'ai vu trois conférences sur Utopie et Dystopie,, Le temps une illusion et L'univers, avant ou après.
J'ai croisé Jessica, ce qui est assez incroyable quand on songe que je suis à Bourges et qu'elle vit maintenant en région parisienne.
J'ai parlé avec la femme de Norman Spinrad et j'ai découvert (sans y jouer) les arcanes d'un petit jeu de société qui pourrait être pas mal dans quelques années avec le fils (les Inventeurs)...
Une bonne journée et un bon début de soirée...
Et pour le reste, j'ai passé la combo sinusite qui passe pas, fatigue de l'herpès, contrecoup de la conduite de la veille, crève pour aller à la Baule Plage avec la famille.
Je dois avouer qu'il y a une vertu infini à la mer : celle d'alléger tout le poids des choses.
Petit épisode rigolo, alors que j'étais les pieds dans l'eau (pantalon remonté jusqu'aux genoux et en crocs), ma femme me signale qu'il y a une balle dans l'eau.
Je vais la chercher pour un petit chien tout triste et sa maîtresse un peu contrite d'avoir lancé la balle dans l'eau, et pouf, de l'eau jusqu'aux parties.
Trempé une heure dehors mais un bon geste accompli et un chien heureux comme tout de retrouver sa baballe...
Sinon, j'ai pas arrêté de faire rigoler mon fils en disant des noms d'alcool. Il n'est pas sensible à rhum mais adore Pastis...
Un mystère : énorme fatigue liée à l'herpès du moment mais j'ai pu (dû) conduire toute la journée parce qu'il n'y avait pas trop d'autre choix.
C'est pas facile cette connerie de se sentir latté après des gros trucs émotionnels.
Je suis un peu embêté de ne pas être à la première du nouvel intergroupe Maleluka mais ainsi va la vie...
Gros bécot au fils qui a été au top en dépit du fait qu'il fasse les dents et de la longue route jusqu'à Guérandes...
Je ne sens pas l'utilité d'étaler de l'intime ces temps ci.
Et il y a des chances que la connexion internet, là où je serai pendant quelques jours, soit pourrie ou nulle.
Et un merci aux choses qui permettent de tenir le coup quand on a très mal (les projets théâtre qui reprennent, le nuage de fin du stage, revoir le fils et la femme, maintenir le Kaizen du lundi qui consiste en deux heures de rangement en gros, avoir touché mes arbres fétiches ce matin en dépit de la sinusite et du fait que je n'y vais généralement qu'avec le chien, l'esprit de l'aventure qui permet de prendre la voiture même si tu devrais pas, cong)
Bon du coup, couché toute la journée, je n'ai pas répété l'enregistrement d'embrassez-moi comme prévu et je ne suis pas non plus allé au théâtre.
Mais tu sais quoi ?
J'avais dit hier soir que j'avais besoin d'être un peu seul.
Ben comme ça, ça a été fait.
Zou.
Je dois avouer que c'est pas avec ma vidéo du dimanche que je compte prendre une claque.
J'avoie en avoir pris une dans le stage grâce à une méthode qui permet d'être en improvisation plutôt qu'en jeu.
J'ai pris aussi une claque avec l'exercice de la douche positive où chacun se connecte à un partenaire et lui souffle à l'oreille un truc qu'il aime bien chez lui.
Une petite claque aussi ce soir au théâtre, du fait des comédiennes qui sortaient du lot des 6 acteurs et surtout d'une qui éclipsait tout le monde. Bravo donc à la compagnie "Les complices" de Sancerre qui a assuré pour moi le meilleur spectacle des automnales...
La claque du pincement au cœur de fin de stage, ou d'un coup de fil de ma sœur, ou de ma femme qui m'annonce à quel point son petit frère est resté bloqué sur un événement de cet été et que je dois corriger.
La claque de constater que je suis loin d'être un connard en vrai mais que des choix que je fais peuvent mener certains à penser que j'en suis un sacré gros.
La claque de constater que je suis de la famille de ceux qui se choisissent une famille de genre plutôt que de ceux qui doivent vivre en famille plus étendue que le couple et les gosses.
J'ai besoin aussi d'être seul. Souvent. Pour créer. Pour me retrouver. Pour me comprendre.
Enfin bref. Je n'eus pas l'occasion d'être vraiment seul cette semaine. Mais là, ce fut aussi une claque.
Et moi je file pour la dernière fiesta du bierrichon avant la fermeture finale pour cause de bail non renouvelé du fait de la grande difficulté de trouver quelque chose avec Licence 4. Mais le patron a encore deux locaux à visiter et sinon, il est assuré de trouver facilement un job dans une autre branche. À la limite, c'est l'essentiel, que quelqu'un ne perde pas son travail?
Merci à Alexis pour ces années de Bierrichon et m'avoir offert le verre à la fin :)
Excellente journée de stage, sinon. J'ai appris des trucs sur moi.
Une bonne claque.
Y a matière aussi à ce que j'aime faire des spectacles d'impro. Autant que des spectacles classiques.
Parce que l'émotion, quand c'est amené comme il faut, c'est ça le plus important.
La troisième journée de stage s'est achevée sur un spectacle d'Avaricum que j'ai bien aimé mais que le metteur en scène en moi aurait dirigé vachement plus dramatique ou burlesque selon les scènes, notamment une scène qui traite du sujet possible de la pédophilie.
Ouais, je regarde de plus en plus les spectacles avec l’œil du metteur en scène ou directeur d'acteur, et je sens bien que j'aime pas l'unité d'un type de style, j'aime quand le texte peut prendre une direction incroyable et qu'elle ne soit pas la même de scène en scène, surtout dans un spectacle formé de scènes.
Je ne crois pas au consensus pour éviter de choquer également. Nan, quand le texte tape, il faut taper.
Bref, un bémol donc sur ma scène favorite que j'aurais aimé voir trash et sale.
Gentil petit verre post-spectacle avec les participants du stage. C'est bien de former un groupe aussi en dehors du stage.
Un site que j'ai découvert en n'ayant pas le courage d'aller voir un spectacle de mayrde si joué par des comédiens moyens ou mauvais du fait d'une pièce peu crédible.
Je sais, c'est pas bien de critiquer, mais comment que le texte était pas terrible pitin. Mes excuses à l'auteur, hein. Mais non. Ce que j'ai lu m'a découragé d'aller m'emmerder ce soir. http://www.theatrotheque.com/web/index.php
Grosse émotion en voyant des enfants et des parents jouer sur scène ce soir. C'était sympa de faire partager un spectacle écrit pour tout le monde.
Bravo à la troupe de La Gerche.
Pour le stage... blog pense-bête.
Je dois noter les exercices d'improvisation qui ont marché.
Se nommer avec un signe.
Compter de 1 à 7 en rond avec un signe sur l'épaule pour indiquer la direction et modifier le 3 et le 7 en un signe pour se planter.
Compter 1 à 3, à deux, en changeant 1 et 2 par des signes.
Construire une phrase en rajoutant un mot chacun.
Construire une description avec une phrase chacun.
Décrire un événement en monologue avec un passeur de relais.
Démarrer une impro à "neutre" avec le "oui oui" toujours bienveillant pour décrire un truc de fou qui nous est arrivé.
Quoi ?
Juste trois images de la journée ?
Rencontrer le maître de stage ce matin et parler de jdr.
Rentrer le bide un peu noué parce que le fils ne serait pas là.
Aller voir le spectacle ce soir, jour de ma fête (dans ma famille, ma fête est le 24 octobre) et prendre un plaisir pur à regarder le plaisir pur.
Trois liens principaux : http://www.lulu.com/shop/ebatbuok/embrassez-moi/paperback/product-22764892.html
(et merci à Aurore pour se lancer avec moi dans le projet, la relecture de ce soir, m'a convaincu que j'avais fait des trucs bien dans ma vie. Y a sans doute des scories de textes à faire sauter pour accélérer un peu la chose, mais ça fonctionne bien... m'est avis.)
Le blog du fils : https://ebatbuok.blogspot.fr/2017/10/la-troisieme-dent.html
Une plaie. Je ne vais pas le voir une semaine.
Mais c'est pour une bonne cause : encore me parfaire en théâtre.
J'espère qu'on aura un créneau video chat le matin.
Je me suis bien amusé aux aventuriers du rail, pas de souci, mais j'enrage d'avoir eu quelques secondes d'énervement (pas contre les autres joueurs) contre le pas de bol qui faisait que tout ce que je prévoyais était coupé peu à peu aux aventuriers du rail édition Monde.
J'ai eu une moule phénoménale ensuite en tirant des objectifs et je reconnais largement que j'ai volé la victoire au premier du fait d'une incroyable chance sur les objectifs tirés.
Mais cela m'énerve d'avoir constaté que j'ai bien des élans de flamme.
Ceci dit, point positif, je suis capable de m'excuser et de laisser passer très vite cet orage qui vient en grande partie du fait de ne plus supporter la moindre contrariété parce que j'ai déjà à faire avec les contrariétés de mon corps.
La force ultime du jeu de rôle, c'est que jamais je ne ressens de rage, jamais.
Une grosse chronique rôliste du lundi donc, dans les pages du jour : http://www.lapagedujour.net/octobre2017/vingttroisoctobre2017.htm
Un merci aux joueurs présents cette après-midi pour tester une édition des aventuriers du rail que je ne connaissais pas et qui prend pas mal de son sel à 5 et sans gare.
Sinon, je retiens des choses de cette semaine où j'ai peu blogué autrement que sur la page du jour :
- J'aime mes deux groupes de théâtre.
- Aller voir la psy fut bien pour le mental.
- Péter les câbles du neurostimulateur fut mauvais pour la totale, mais heureusement, merci à ceux qui ont été avec moi ce soir pour une partie de jeu de rôle même s'ils ne voulaient pas tous la faire.
- J'ai du mal avec la perte des cheveux, grave, en fait. J'en rigole, mais j'ai du mal, c'était une couche de trop dans ces dernières années (un jour je serai assez riche pour avoir des beaux implants).
- J'ai besoin de monter Embrassez-Moi, mais vraiment.
- Je suis mille fois mieux sur scène ou en partie de jdr que dans la vraie vie, parce que mon cerveau échappe au monde des préoccupations.
- Y a quand même, il faut l'avouer, dans le monde réel, presque rien de mieux que le sourire du fils ou sa joie en découvrant des trucs. Ou rien de mieux.
Walla.
Mon mausolée à moi, quoi.
Sinon, côté JDR j'ai demandé à chacun de faire un personnage en lui imposant une profession, un adjectif et deux hobbies en plus d'un rôle marquant lorsqu'il joua au jeu de rôle Torg, rôle qui lui revint quelques mois ou années plus tard avec une voix dans la tête demandant de tuer quelqu'un.
J'ai donc fait pour accompagner les joueurs : un écrivain alcoolique, amateur de balades dans la nature et de faire des recettes de cocktails sur youtube. Un écrivain canadien, séparé de sa femme et de ses trois enfants partis vivre en Angleterre. Il avait comme personnage de jeu de rôle qui lui revient dans la tête un acteur et médium russe...
Ouais, je vais faire jouer à Torg avec des personnages qui ont eu leur personnage de Torg qui leur vient dans la tronche et leur raconte : je ne suis pas un personnage mais ton double dans un autre univers.
Et je dois avouer que j'aurais aimé avoir l'occasion de jouer Charles Laville, écrivain de romans de science-fiction, de polars ou de pièces de théâtre et maître dans l'art de faire des cocktails.
Et sinon, ça : http://www.lapagedujour.net/octobre2017/vingtetunoctobre2017.htm
(et pour le coup, ça fait du bien de décharger un peu son bazar - hum - à quelqu'un de pas de l'entourage parce que t'as pas envie d'en mettre plein la tronche sur tes douleurs aux autres, hein).